
Au revoir là-haut – Albert Dupontel
Tout là-haut sur le toit d’un monde Albert Dupontel siège, au milieu de ses masques et de sa fantaisie pour nous offrir un grand film romanesque au propos doux-amer.
Tout là-haut sur le toit d’un monde Albert Dupontel siège, au milieu de ses masques et de sa fantaisie pour nous offrir un grand film romanesque au propos doux-amer.
Une magie de chaque instant, classique dans son déroulé mais dont la rencontre entre 3e et 7e art ne peut être esquivée.
Un spleen graphique et apocalyptique écrasé par le poids de son héritage, mais dont l’humilité et l’audace invite au respect.
Fenêtre poignante sur le silence des Amérindiens. Brillant dans sa composition, déroutant dans ses regards, une violente réussite.
Un énième film d’anticipation qui peine à se démarquer, se perd dans une élucubration d’action-heroes, mais qui reste divertissant.
Un nouveau film en demi-teinte pour Christopher Nolan, où les éléments techniques s’y meuvent avec brio, rendant au spectacle ses lettres de noblesse, au détriment de l’implication du spectateur.
Un feel-good movie qui sent bon l’été servi par un Edgar Wright en forme et une playlist qui ferait pâlir les gardiens de la galaxie.
À l’occasion de la sortie de son dernier long-métrage Song to Song, revenons sur le dernier né de l’usine métaphysique “malickienne”.