Cette semaine, on vous recommande les nouveaux albums de The Charlatans, Daniel Avery, Anna von Hausswolff, keiyaA, Micah P. Hinson, Bugge Wesseltoft, Smith & Liddle, Donna Regina, Guided By Voices, Cookin’ On 3 Burners, Lea Gasser 5tet, Jamie Lidell & Luke Schneider…
Thriller familial ambitieux, Black Rabbit démarre fort avant de s’effondrer sous le poids de ses intrigues inutiles et de ses incohérences… malgré un duo Jude Law / Jason Bateman convaincant.
Dans sa nouvelle BD autobiographique, Hugues Barthe revient sur son enfance, entre un père autoritaire et une mère soumise. À travers la découverte de la littérature, de la musique et des rencontres décisives, il raconte son émancipation sociale. Un récit touchant et sincère.
Dans ce huitième volet des « sales » aventures de Léon Sadorski, Romain Slocombe entraîne le lecteur dans les bas-fonds de l’après-guerre, où il sera question de spoliation d’œuvres d’art juives. Un roman aussi sombre que fascinant.
Cette semaine, on vous recommande les nouveaux albums de The Last Dinner Party, Miles Kane, The Apartments, Soulwax, Bar Italia, Andrea Lazslo De Simone, The Big Idea, Greg Foat, Omasta, Arnaud Fournier, Armel Dupas Trio…
Philippe Collin clôt en beauté sa trilogie sur la Seconde Guerre mondiale avec un récit aussi romanesque que tragique : la fuite des collaborateurs français au château de Sigmaringen, dernier théâtre de la Collaboration.
Avec Nous les moches, Jean Michelin raconte la réunis la dernière tournée entreprise par quatre vieux potes musiciens de thrash metal, à travers une Amérique paumée. Une ode à la musique et à ceux qu’elle empêche de sombrer.
Cette semaine, on vous recommande les nouveaux albums de Great Lake Swimmers, Robert Finley, KAU, The Antlers, Flock of Dimes, St. Paul & The Broken Bones, Sohn, Hannah Frances, Other Lives, Bops, Ozark Henry, KCIDY, Jessica93, The Necks…
Dans un entretien intime mené par Corinne Renou-Nativel, Jean-Paul Dubois raconte sa vie tranquille, son goût pour la lenteur et les petits bonheurs du quotidien. Le portrait d’un homme qui a fait de la simplicité un art de vivre.
Deuxième volet de la trilogie de Benjamin Dierstein, L’Étendard sanglant est levé nous replonge au début des années 80, au moment où les attentats minent le début du septennat de Mitterrand. Un polar haletant et documenté, où se mêlent histoire, politique et fresque romanesque.