Mélo Pop ne sera pas une vraiment une surprise mais plutôt la confirmation d un style, d un univers graphique et narratif toujours aussi personnel et assez délicieux dans lequel on retrouve ce mélange pétillant de romantisme, de comédie absurde.
Choisir 5, 10, 15 ou 20 films, ou plus encore, c’est réduire sa propre vision du cinéma à l’essentiel. C’est faire des choix difficiles pour faire comprendre au mieux nos goûts et nos sensibilités.
Voici un récit d anticipation assez complexe mais malgré tout très captivant qui met en scène dans un futur proche un psychologue en instance de divorce, victime d‘un accident de voiture, et qui en plus croit avoir aperçu un ovni dans le ciel.
Choisir 5, 10, 15 ou 20 films, ou plus encore, c’est réduire sa propre vision du cinéma à l’essentiel. C.’est faire des choix difficiles pour […]
On profite de l accalmie estivale dans le flot des sorties d albums pour faire le tour de la rédaction et demander quels sont les disques de chevet de chacun depuis le début de l année 2013.
A travers cette courte série prévue en trois volumes, les deux auteurs redonnent donc des couleurs au fameux personnage masqué qui terrorisait le tout Paris au début du XXème siècle.
Deux ans après « La faute aux chinois », le duo Ravard/ Ducoudray revient avec une BD reportage en noir et blanc, drôle et touchante à la fois, où l on suit l un des deux auteurs en Bosnie, embarqué dans un convoi humanitaire.
Le label Delirium fait paraitre le deuxième tome d une anthologie consacrée à la bande dessinée d horreur des années 60, 70 et 80 dans un copieux volume rééditant les meilleures histoires publiées dans la revue américaine « Creepy ».
Construit très habilement en mêlant plusieurs intrigues à la fois, le scénario mêle la petite et la grande histoire dans un récit très habile avec d un côté un aspect social, et de l’autre côté, le rapport à l histoire, avec ces héros de l occupation au parcours semé de zones d’ombres.
Série co-écrite par Robert Kirkman (« Invincibles », « Walking Dead ») et Nick Spencer (« Existence 2.0 »), « Le maître voleur » se présente comme une sorte de mélange entre « Ocean’s Eleven » et « Mission Impossible ».