Cette semaine, on vous recommande les nouveaux albums de Suede, David Byrne, shame, Big Thief, El Michels Affairs, Anushka, Valentim Frateschi, Critique Love, Grant-Lee Phillips, Yoni Mayraz, La Chooma, SCHØØL…
Parmi les révélations de l’année 2025, il y a Rémi Klein. Avec son premier album solo, il nous offre une gourmandise pop raffinée. Pour BENZINE, il a sélectionné dix incontournables de sa discothèque.
Avec ce nouveau roman, Claire Vesin nous replonge dans les années 80 et fait ressurgir les drames enfouis et les blessures collectives d’une époque. Entre enquête intime et chronique sociale, un récit où le mystère se mêle à la nostalgie.
Voici l’agenda des albums en repérage sur BENZINEMAG pour le second semestre 2025, avec mise à jour hebdomadaire pour ne rien manquer des nouveautés.
Dans Footboys, son premier roman, Mathieu Tulissi Gabard lève le voile sur les illusions et les désillusions des centres de formation. Entre espoirs brisés et rêves démesurés, il raconte le quotidien souvent brutal de jeunes aspirants footballeurs.
Avec Les crédits, Damien Peynaud signe un récit intime sur le surendettement et la honte sociale, entrecoupé de souvenirs d’enfance et de références cinématographiques. Une œuvre personnelle, portée par une écriture aussi précise que sensible.
Sorj Chalandon revient à l’autobiographie avec Le Livre de Kells. Dans ce roman d’apprentissage, il raconte ses débuts à Paris, dans la rue, ses engagements politiques et ses rencontres fondatrices. Un récit sincère et bouleversant sur la colère, la liberté et la fin des illusions.
Cette semaine, on vous recommande les nouveaux albums de Ada Lea, JID, Osees, Wombo, No. Joy, Natalie Slade, Monzanto Sound, Kinzoogianna, Roc Marciano & DJ Premier, Amaarae…
Inspiré du destin de la militante iranienne Narges Mohammadi et du cinéaste Mohammad Rasoulof, Sept Jours retrace l’échappée clandestine d’une femme tiraillée entre son engagement politique et sa vie de famille. Un film fort, mais parfois alourdi par un discours trop appuyé.
Le batteur californien Joey Waronker et le producteur Pete Min signent avec King King un album instrumental ambitieux, où le jazz Californien croise les structures complexes du post-rock de Chicago. Une œuvre subtile, planante et audacieusement construite.