
[Netflix] Un couple parfait : drame chez les riches
Quelques stars, une promo matraquée, un concept vu et revu ça reste mais toujours aussi efficace qu’un Cluedo géant aux multiples rebondissements. Thème éculé, plaisir coupable.
Quelques stars, une promo matraquée, un concept vu et revu ça reste mais toujours aussi efficace qu’un Cluedo géant aux multiples rebondissements. Thème éculé, plaisir coupable.
Tout quitter pour se sentir mieux dans ce monde qui court à sa perte : une solution ? Avec cynisme et fausse légèreté, le journaliste belge Quentin Jardon évoque les dérives du capitalisme actuel à travers les turpitudes existentielles d’un trentenaire lambda.
Pour son deuxième roman, Abigail Assor évoque les souvenirs d’enfance de jumeaux et leur séparation tragique une nuit de leur 10 ans. Une écriture douce-amère jalonnée de tensions permanentes pour narrer l’amour filial, la culpabilité et ce que la mémoire garde des traumatismes de l’enfance.
Le nouveau roman du roi du polar écossais emprunte les chemins d’Agatha Christie avec ses multiples rebondissements qui mettent ses protagonistes face à leur part d’ombre. Sans convaincre totalement.
Retour sur un petit phénomène sériel actuellement sur la plate-forme gratuite d’ARTE : la courte série d’animation d’Emilie Tronche, « Samuel » ausculte avec précision, humour, et poésie les tribulations de toute personne qui a déjà eu 10 ans dans sa vie. Un régal.
Florent Bernard réussit, pour son premier film, à se hisser au niveau de ses comparses américains doués dans le domaine des comédies indépendantes. Son film aussi drôle que touchant parvient à nous émouvoir avec sincérité, une vraie réussite.
Le héros de la saga du maître islandais du polar, Arnaldur Indridason, montre ses plaies familiales et son côté vraiment sombre pour ce cinquième et dernier volet, qui évoque les traumatismes de l’après-guerre sur l’île.
Le deuxième roman de Marielle Hubert, fort et déconcertant, évoque les rapports mère-fille à l’approche de la mort de Sylvette, cette « enfant-mère » qui ne veut pas mourir de son cancer généralisé.
La première série de Panayotis Pascot, qui emmène sa bande de potes de stand-up sur le terrain glissant de la masculinité toxique ou fragile, se relève être la pépite tragi-comique que l’on n’attendait pas.
Deuxième roman pour Katharina Volckmer, Wonderfuck est un petit uppercut littéraire qui bouscule les idées reçues, tout en adoptant un style aussi provocant que jubilatoire.