
Jay-Jay Johanson – Cockroach
Deux ans après le splendide « Spellbound », on retrouvé le Jay-Jay Johanson des débuts, proposant des titres downtempo aux ambiances tristes, avec ce mélange bien équilibré de sonorités électroniques et acoustiques.
Deux ans après le splendide « Spellbound », on retrouvé le Jay-Jay Johanson des débuts, proposant des titres downtempo aux ambiances tristes, avec ce mélange bien équilibré de sonorités électroniques et acoustiques.
Sur la lancée du premier tome, Franck Margerin et Marc Cuadrado continuent de nous divertir avec cette série en jouant avec tous les clichés propres au milieu des motards et plus particulièrement celui des fans de Harley.
Avec ce récit en forme de huis-clos, Zep fait table rase du passé, dévoilant un nouveau style de dessin et des thèmes là très adultes : les retrouvailles, le regard sur le passé, la fuite du temps, les regrets, les trajectoires croisées…
« à‚me perdue » est une bande dessinée avant tout humoristique qui nous fait passer par toutes sortes d émotions en suivant les pérégrinations d’un petit bonhomme bonhomme. Une bande dessinée donc drôle et rythmée, subtilement mise en scène
MediaEntity est une série que Delcourt définit comme « transmédia » ou en « réalité augmentée », deux termes pour définir la forme hybride de cette nouvelle série dans laquelle le lecture est mis à contribution.
Sans renier ses titres du passé, mais en ajoutant suffisamment de modernité et de fun à son style progressif et rétro-futuriste, Château Marmont réussit un joli exercice d équilibre pour un album osé, pas si évident que ça, et en tout cas fort passionnant.
Les Impressions nouvelles propose cette fois une adaptation du roman » Le cavalier suédois », de l écrivain Léo Perutz publié en 1936. Cette adaptation est signée Jean-Pierre Mourey dont on avait lu de « L invention de Morel » chez Casterman, en 2007.
Avec « Jack Joseph, Soudeur sous-marin », Lemire revient avec une histoire profondément mélancolique et intimiste où il est encore une fois question de liens familiaux. Un livre étrange, troublant et d une beauté et d une profondeur indéniable.
Album sinueux mais très confortable, « False Idols » marque enfin le retour de Tricky au premier plan, montrant un artiste enfin libéré, l esprit serein, capable de composer des titres absolument envoutants.
Comme chez le frère jumeau Tame Impala, la force du groupe réside dans cette capacité à balancer des morceaux super-puissants avec une production grosse comme ça et surtout avec pas mal de fun et de décontraction.