
« Le Marin céleste » de Rodolphe et Roman : retour dans l’univers de Sprague
Le Marin céleste est une suite qui ne dit pas son nom à l’album Sprague. On y retrouve tout le charme de cet univers, menacé par de mystérieuses herbes bleues.
Le Marin céleste est une suite qui ne dit pas son nom à l’album Sprague. On y retrouve tout le charme de cet univers, menacé par de mystérieuses herbes bleues.
Ian Manook est de retour en Asie centrale avec cette équipée sauvage au fin fond de la Sibérie. Un véritable récit d’aventures en compagnie d’une petite troupe bigarrée de personnages singuliers et attachants.
Les superbes aquarelles de Krassinsky nous invitent à un beau voyage initiatique en pleine nuit arctique. Un régal pour les yeux et les esprits des vents et des glaces.
Moneda, le polar historique de Stéphane Keller, est la chronique d’un coup d’état annoncé : ambiance de fin de règne à Santiago du Chili à la veille du putsch de Pinochet.
Fable écolo sur fond de surexploitation de la forêt amazonienne : les très belles planches de Les papillons ne meurent pas de vieillesse nous emmènent à la chasse aux papillons.
« Sainte frénésie » à Lagos – Nigeria, quand disparaît une montagne d’argent sale (très haute la montagne, c’était le trésor de guerre des gourous d’une église pentecôtiste). La Lagos Lady est de retour pour un thriller haletant.
Ce troisième chapitre des aventures du détective privé Aloysius Archer est aussi captivant que les autres. Une étude sans concession de l’humanité et de ses faiblesses doublé d’un portrait désabusé de Hollywood et de L.A.
Jean-François Pasques, c’est le flic « psychologue » de la PJ. Ses polars sont toujours écrits avec beaucoup de finesse et cherchent à pénétrer l’intimité des personnages à travers leurs mensonges ou leurs aveux. L’avocat du diable évoque avec sensibilité le sujet du féminicide.
Troisième aventure de la détective privée marocaine Gabrielle Kaplan. Une intrigue au parfum entêtant de voyous et d’agents secrets : Tanger nid d’espions ! Révisez vos classiques
Direction la Malaisie, avec La maison des portes, de l’écrivain d’origine chinoise Tan Twan Eng. Un bel hommage à Somerset Maugham et à la splendeur passée des colonies britanniques.