
[Netflix] Dark – Saison 2 : compte à rebours avant l’Apocalypse
La saison 2 de Dark confirme la réussite de cette belle série allemande, en poussant un cran plus loin tous les mécanismes mis en place dans la première…
La saison 2 de Dark confirme la réussite de cette belle série allemande, en poussant un cran plus loin tous les mécanismes mis en place dans la première…
The Beatles (Aah !) + Richard Curtis (ouais…) + Danny Boyle (bouh !) réunis dans un seul film au scénario intriguant – même si pas très original-, Yesterday suscite a priori l’intérêt alors qu’on est dans le creux cinématographique de l’été. Dressons en le bilan…
Les Stroppies, responsables avec « Whoosh! » de l’un des plus chouettes albums de 2019 pour qui, comme nous, est resté franchement accro au Dunedin Sound, ont enfin quitté leur Melbourne pour faire un petit tour chez nous, et jouaient au Supersonic vendredi soir…
Le second tome de la série Un destin de trouveur dépasse d’ores et déjà de la tête et des épaules le reste de la production française de BD romanesque.
Y a-t-il dans le fantastique un sous-genre que l’on pourrait qualifier de « l’organe transplanté hanté » ? Si oui, alors Chambers s’inscrit en plein dans ce sous-genre, mais va heureusement chercher un peu d’originalité en explorant cette bonne vieille lutte des classes transposée aux USA.
Et si le secret le mieux gardé – mais de moins en moins – de la scène d’Atlanta, c’était Mattiel, sorte de sœur jumelle de Courtney Barnett, qui revisite et actualise magistralement les standards américains grâce à un chant combattif et puissant ?
Contre toute attente, Josh Cooley et Andrew Stanton ont brillamment prolongé la saga phare des Studios Pixar, avec une ouverture inattendue sur le destin de ces jouets qui nous ressemblent tant.
Peut-être qu’un rêve de « film Netflix », c’est finalement quelque chose comme ce The Perfection, un grand moment de montagnes russes, une assez irrésistible décharge de plaisir bien vulgaire. Pour cette fois, ça nous ira !
Peu de séries TV réussissent à s’améliorer au fil du temps. Bosch, l’adaptation de ses célèbres polars réalistes produite par Michael Connelly lui-même, avec une cinquième saison très réussie, constitue donc une rassurante exception.
Oh My God est-il un album de pur Gospel, une célébration de Dylan, Cohen et consorts, ou bien quelque chose d’un peu mystérieux qui ne se dévoile véritablement qu’en live ? Tout cela à la fois, probablement !