Une pluie sans fin : killing in the rain
Entremêlant polar pluvieux, chronique sociale et histoire d’amour, Une pluie sans fin ne parvient jamais à trouver le bon timing pour faire coexister ces trois genres.
Entremêlant polar pluvieux, chronique sociale et histoire d’amour, Une pluie sans fin ne parvient jamais à trouver le bon timing pour faire coexister ces trois genres.
Thomas Riedlsheimer retrouve le land artist Andy Goldsworthy pour une nouvelle exploration de son travail, en prise directe avec la Nature, ses matières et ses formes.
Avec Dogman, Matteo Garrone revient aux choses plus que sérieuses en adaptant un terrible fait divers qu’il transforme en une allégorie religieuse, âpre et macabre.
Christopher Radcliff et Lauren Wolkstein signent avec The strange ones un premier film beau et envoûtant, road movie irréel de deux frères aux relations troubles.
Au poste ! Un gentil petit exercice de style entre amis où Quentin Dupieux tâte une fois de plus de l’absurde et du non-sens. Mais sans parvenir à se renouveler.
Une suite solide et efficace au magnifique Sicario de Denis Villeneuve, en dépit d’une certaine redite scénaristique et d’un effet de surprise qui s’est émoussé.
Pour son premier long-métrage, Ari Aster signe un film d’horreur et d’angoisse réussi dans la lignée des récents The Witch et It comes at night, hanté par une Toni Collette en mode Possession.
Rachel Weisz et Rachel McAdams, magnifiques, s’aiment en secret derrière la caméra de Sebastián Lelio. Un film aussi doux qu’il est convenu.
Nicolas Cage à son meilleur, grognant et vociférant, dans un film de fou furieux transformant un simple revenge movie en fugue hallucinogène.
Sur les traces d’Eytan Fox, Ofir Raul Graizer réalise un premier film tout en douceur sur le deuil et le souvenir.