
“Fuis-moi, je te suis” de Koji Fukada : Une semi-déception
Moins passionnant et original que le premier volet de l’histoire de la course poursuite entre Tsuji et Ukiyo, Fuis-moi, je te suis n’échappe pas complètement à l’ennui. Une semi-déception…
Moins passionnant et original que le premier volet de l’histoire de la course poursuite entre Tsuji et Ukiyo, Fuis-moi, je te suis n’échappe pas complètement à l’ennui. Une semi-déception…
Première partie d’une comédie romantique sérieusement dérangée, voire dérangeante, qui aurait pu être primée à Cannes en 2020 si le festival avait eu lieu, Suis-moi, je te fuis est une drôle d’expérience. A ne pas manquer, donc !
Les 7 nouveaux épisodes de « Upload » constituent une déception en termes de scénario. Il nous reste heureusement assez des délicieux et absurdes personnages pour que le divertissement fonctionne encore.
Il fallait une bonne dose d’inconscience pour reprendre l’idée du génial Un Jour sans Fin, mais on doit admettre que Barbakow et ses acteurs ne déméritent pas, et que Palm Springs est un divertissement réussi.
Avec la mise en ligne sur OCS de la quatrième enquête de C.B. Strike, notre nouveau limier préféré, Blanc Mortel, nous avons rattrapé notre retard sur l’Angleterre : quatre épisodes romantiques en attendant la suite, prévue pour la fin de cette année…
On ne croyait pas forcément J.K. Rowling capable de créer une série – en livres puis en téléfilms – aussi impeccable que CB Strike, mélange improbable de whodunit très british, de film noir et de comédie romantique : on tire notre chapeau !
On n’attendait pas un film aussi parfait, aussi fort de la part d’Emmanuel Mouret, que ce Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait… qui nous fait regretter du coup que Cannes, qui l’aurait forcément célébré, n’ait pas eu lieu en 2020 !
Après un démarrage peu engageant, Upload est une série qui fait des étincelles, et nous devient de plus en plus chère : on oublie même la SF façon Black Mirror pour se délecter des mécanismes éternels de la comédie hollywoodienne.
De retour à Manhattan sur une partition qu’il maîtrise parfaitement depuis toutes ces années, le vieux maestro nous fait oublier pendant une heure trente toute la polémique qui fait rage autour de lui.
The Beatles (Aah !) + Richard Curtis (ouais…) + Danny Boyle (bouh !) réunis dans un seul film au scénario intriguant – même si pas très original-, Yesterday suscite a priori l’intérêt alors qu’on est dans le creux cinématographique de l’été. Dressons en le bilan…