Vera Buck reprend le même thème des violences faites aux enfants, mais en poussant plus loin les curseurs du thriller psychologique dans un huis-clos au coeur d’une forêt suédoise qui tourne au cauchemar pour une famille.
Piergiorgio Pulixi reprend les personnages de La librairie des chats noirs et les emmène dans une singulière croisière littéraire qui va être le théâtre de nombreux rebondissements. Dans la pure tradition des romans à énigme !
L’écrivain américain imagine son pays en proie à une explosion de violence : une partie de la population, affectée par un mal étrange, n’a plus qu’une obsession : se débarrasser de l’autre. Haletant, Run est un page-turner efficace mais d’une très grande violence.
Dans un polar classique, nerveux et efficace, Peter Farris analyse la place des armes à feu dans une Amérique gangrenée par les trafics de drogue, les violences policières et la corruption politique.
L’écrivaine australienne Ruby Todd s’est librement inspirée de l’affaire de la secte Heaven’s gate en 1997 pour composer un roman inclassable traçant un orbite élégant autour de la question du deuil pour explorer les profondeurs du deuil d’une veuve.
Le nouveau roman de l’Américain Alex Taylor est composé de deux récits bien distincts qui finissent par s’entrelacer pour mettre en valeur la même idée : le pouvoir de la fiction.
Troisième volume des aventures de Mick Hardin, La Loi des collines est une nouvelle réussite d’un des auteurs majeurs du noir américain. Le Kentucky y est, une fois encore, le décor d’une intrigue policière au service d’une réflexion sur la justice et la responsabilité individuelle.
Avec son sixième roman, qui oscille entre thriller et roman noir, l’Américain se renouvelle et nous offre une mécanique narrative parfaitement huilée, et qui ne cesse de nous surprendre pendant plus de 400 pages. Un régal !
Dans ce « rural noir » puissant et particulièrement maîtrisé, Vera Buck met en place un décor et des personnages qui vont durablement imprégner le lecteur. L’histoire est complexe, les personnages bien dessinés, le suspense captivant.
A tous les mauvais esprits qui ne se laissent pas bercer d’illusions sur la nature humaine et qui préfèrent en rire, on conseillera la lecture de La Panne », de l’écrivain et dramaturge suisse Friedrich Dürrenmatt décédé en 1990.