Ozu – Marc Pautrel
Dans un texte découpé en chapitres courts, Marc Pautrel raconte ce qui aurait pu être la vie de ce géant du cinéma japonais reconnu à l’étranger alors qu’il était mort depuis longtemps déjà.
Dans un texte découpé en chapitres courts, Marc Pautrel raconte ce qui aurait pu être la vie de ce géant du cinéma japonais reconnu à l’étranger alors qu’il était mort depuis longtemps déjà.
Un livre drôle qui raconte les tribulations d’une bande de chômeurs parisiens terrorisés par une employée cynique et zélée de l’agence Pôle Emploi bien décidée à les remettre au boulot.
Avec « A l’enseigne du cœur épris », Jean-François Pigeat traite le problème des nouvelles familles recomposées avec humour et sarcasmes dans un texte guilleret et primesautier.
Delphine Roux évoque un Japon bipolaire déchiré entre un avenir ultra moderne, ouvert sur le monde, et la tradition ancestrale des ancêtres figée dans le passé.
Avec « Figurante », Dominique Pascaud signe un texte dense et attachant qui raconte les rêves de cinéma d’une jeune et modeste employée d’hôtel.
Kim Youg-ha prête sa plume à son presque homonyme Kim Beyoung-su, un vieillard coréen âgé de soixante-dix ans, qui raconte la vie qu’il a menée quand il était serial killer
Avec Huit quartiers de roture, Henri Calet propose une longue flânerie au long des rues, ruelles, impasses, cours… de ces quartiers populaires de Paris déjà profondément transformés par l’histoire…
Michel Marian, philosophe aux racines arméniennes, se penche sur ce dramatique épisode historique qu’est génocide arménien avant tout pour en évoquer la mémoire.
Avec ce nouveau texte, Laurent Graff signe un petit bijou qui en surprendra certains mais qui ravira les esthètes de la langue française.
Ce nouveau roman d’Alain Guyard n’est pas seulement une épopée picaresque, sociale et drôle, c’est aussi un véritable cantique révolutionnaire qui chante la misère des gueux écrasés par ceux qui possèdent.