
[Netflix] A l’Ouest, rien de nouveau : 11 heures, le 11/11…
On reparle beaucoup de la version Netflix de A l’Ouest, rien de nouveau, célébré par les BAFTA en Grande-Bretagne et attendue aux Oscars. Mais ce remake mérite-t-il autant d’attention ?
On reparle beaucoup de la version Netflix de A l’Ouest, rien de nouveau, célébré par les BAFTA en Grande-Bretagne et attendue aux Oscars. Mais ce remake mérite-t-il autant d’attention ?
Au-delà d’un scénario qui emprunte largement les ficelles classiques d’un Harlan Coben, la seule bonne raison de regarder l’Abîme réside dans la beauté des paysages et l’originalité des décors. Pas certain que ça soit suffisant…
Hier soir, on inaugurait pour notre part la Marbrerie de Montreuil, pour accueillir le groupe chouchou de nombre d’entre nous, un peu plus d’un an après leur dernier passage à Paris, lestés cette fois d’un excellent nouvel album.
Rire de la religion est osé, dangereux peut-être en notre époque d’intolérance généralisée. Mais comme Genèse & Prozac est absolument hilarant, et diablement intelligent en plus, les excités de la foi auront peut-être pitié de l’âme de Rémi Lascault et d’Ami Inintéressant…
On les attendait au tournant après la réussite de leurs premiers EPs et des concerts brutaux mais sensibles, et les filles de Grandma’s Ashes ne déçoivent pas avec un premier album profond et complexe, reflétant parfaitement leur approche ambitieuse de la musique.
Au milieu de la profusion d’excellents albums parus dans les derniers mois de 2022, on est malencontreusement passé à côté du premier album solo de Will Sheff, le leader d’Okkervil River. Il était grand temps de rattraper cet oubli, peu avant le passage de Will en concert à Paris.
Roman graphique d’une grande élégance formelle mais surtout développant un propos très complexe, Le Ciel pour conquête marque la naissance d’une autrice hors du commun.
Le trop méconnu Jesse Malin représente une vision combattive, politique, humaine, et surtout généreuse du Rock’n’Roll, qu’il a défendu hier soir au cours d’un concert riche en anecdotes et en hommages, et qui marquera certainement chacun de ceux qui y ont assisté…
Il a fallu attendre plus de dix ans ce nouvel album du groupe le plus important du Rock belge, et, heureusement, How To Replace It montre que dEUS n’ont pas perdu leur goût pour l’aventure ni leur originalité. De bonnes nouvelles de la « zone morte », donc…
On applaudit à deux mains devant le fait qu’une comédie populaire s’attaque au sujet difficile et polémique du changement de genre. On pleure de rage devant la pusillanimité d’un film qui préfère éviter tous les sujets qui fâchent pour prôner la force des bons sentiments.