[Netflix] Tyler Rake 2 : Back from the Dead !
Trois ans plus tard, Netflix a ressuscité Tyler Rake, qui revient dans un second film tout aussi spectaculaire et tout aussi creux. Pour amateurs avertis…
Trois ans plus tard, Netflix a ressuscité Tyler Rake, qui revient dans un second film tout aussi spectaculaire et tout aussi creux. Pour amateurs avertis…
Premier album de la période « classique » de Bowie, The Man Who Sold The World est l’une de ses œuvres les plus singulières, en particulier parce qu’elle fut créée de manière collaborative avec Ronson et Visconti.
Gros choc que le drame coréen la Traque dans le Sang, avec son scénario à forte teneur émotionnelle et ses combats radicaux ! Dommage qu’une conclusion bâclée nous laisse sur une impression mitigée… Reste un spectacle saisissant de brutalité extrême… coréen, quoi !
Il aura fallu attendre 3 ans pour que l’un des plus brillants songwriters actuels, J.E. Sunde, nous offre une suite à 9 Songs About Love, mais l’attente n’aura pas été vaine : son 4e album est une pure merveille.
Encore un nouveau film de de Kōji Fukada, après Harmonium, l’Infirmière, et Suis-moi, je te fuis / Fuis-moi, je te suis. Et encore une réussite de ce metteur en scène qui poursuit la geste du grand cinéma japonais !
Le troisième album de Daniel Blumberg est son plus audacieux, mais aussi son plus honnête. Il nous donne des nouvelles intimes de sa lutte contre la maladie et son propre corps. Et c’est impressionnant.
L’Elysée Montmartre s’est embrasée hier soir des couleurs de l’Ukraine, avec un Gogol Bordello qui nous a offert un set plus punk que jamais. « Solidarité ! »
Ce qu’on anticipait et craignait semble se réaliser dans ce huitième tome de la chronique par Riad Sattouf de la vie d’Esther, jeune fille qui semble désormais vivre dans un monde édulcoré. Dommage…
Sorti au moment où The Girl is Crying in Her Latte confirme que le succès commercial actuel de Sparks pourrait bien durer, Sparks est un livre dont la lecture est indispensable pour tout fan des Frères Mael.
Le second disque éponyme de Bowie, publié en 1969, est plus connu sous le titre de Space Oddity, d’après la chanson qui fut le premier succès commercial de David Jones, qui le considérait comme son premier véritable album. Mais là encore, ni le public, ni les critiques de l’époque ne lui prêtèrent beaucoup d’attention…