Moins drôle, plus complexe, plus engagée dans l’analyse de nos comportements au sein d’une société dysfonctionnelle, mais toujours aussi fine, la dernière nouvelle aventure de Lapinot, Midi à Quatorze Heures surprend et passionne.
L’évolution de la musique de We Hate You Please Die au-delà du punk-rock de leurs débuts suggérait des influences plus larges… Les 4 musiciens du groupe nous le confirment… Avec en plus un sympathique coup de chapeau à d’autres jeunes groupes de leur génération !
Utiliser l’inquisition espagnole et les procès de sorcellerie visant à asseoir le pouvoir de l’état et des hommes comme dénonciation d’une oppression éternelle était un bon point de départ, mais Pablo Agüerro fait de ses Sorcières d’Akelarre bien plus que ça.
Le Rock français est tellement riche qu’il recèle même un certain nombre de véritables génies méconnus, comme Johan Asherton, qui nous aura enchantés lors d’un nouveau rendez-vous « secret » organisé par Life Is A Minestrone.
le Supersonic se prépare à regagner ses pénates à la Bastille. C’était la dernière soirée Take me Out de 2021, on espère la dernière pour toujours, car ça voudrait dire que la pandémie nous lâcherait un peu la grappe, enfin !
Si l’on ne rechigne jamais devant un bon film d’action, Sweet Girl échoue malheureusement à remplir son contrat de divertissement de base, par la faute d’une sorte de confusion permanente régnant dans son scénario.
Si on dit que la colère est mauvaise conseillère, elle est par contre une excellente inspiratrice quand il s’agit de pondre un brûlot punk rock aussi enragé et pertinent que le second album de Chubby and the Gang. No Future ? No Present, plutôt !
Devant un public toujours nombreux et enthousiaste, c’était au tour des Bordelais de W!ZARD et des Flamands de The Guru Guru de maintenir la flamme en un jeudi soir qui sentait un peu trop la rentrée…
Un auteur français de polars qui situe son action au Groenland, et qui nous fait découvrir cet univers inconnu et fascinant qu’est la culture inuite ? ça ne se refuse pas, d’autant qu’au troisième tome, la saga Qaanaaq ne montre pas de signes d’épuisement.
Eh oui, en une année où les derniers échos d’une pop music britannique populaire semblent lointains, on a envie de défendre bec et ongles le nouveau d’un Jake Bugg bien décidé à assurer à lui tout seul la renaissance d’une Brit Pop bien oubliée.