Grosse, grosse surprise que On All Fours, le second album de Goat Girl, groupe que l’on qualifiait jusque-là de post-punk et d’énervé, et qui nous offre cette fois un voyage opulent et planant.
Quatrième saison déjà, produite cette fois par Netflix, pour l’une des séries TV les plus populaire, Dix pour Cent. Et la recette fonctionne encore très bien, jusqu’à une conclusion bien venue. Mais est-ce bien une conclusion ?
Très cinématographique dans sa construction et son approche graphique, Dans le taxi évoque autant Kiarostami que Fellini de par la manière dont Rami revient sur sa propre existence et l’enchâsse dans la mémoire d’une ville.
On attendait depuis 2008 une adaptation cinématographique du chef d’œuvre de la littérature contemporaine qu’est le Tigre Blanc : la déception est – sans doute inévitablement – au rendez-vous, mais le film de Ramin Bahrani reste tout-à-fait digne d’intérêt.
Pour ceux qui ne connaissent pas encore Barton Hartshorn, son nouvel album, Not What I Expected to Hope For, est une chose rare : une très belle célébration du meilleur de la pop et du folk anglais « classiques ». Avec, en bonus, une voix superbe et un storytelling passionnant.
Le second album de Kiwi Jr. est l’occasion de sourire en écoutant des textes malins tout en se rappelant d’une époque où les Modern Lovers nous réjouissaient de leur classe infiniment décontractée. On ne passera donc pas à côté de ce petit plaisir !
Centrées sur les rapports difficiles entre la population aborigène et les « blancs », les deux premières saisons de la série Mystery Road sont de belles plongées dans la réalité de la société australienne, mais d’assez piètres polars.
Parce qu’on n’en finit pas d’être captivé par ESTOUEST, l’album de Miegeville, de le déguster comme un grand cru long en bouche, il était grand temps de soumettre au Toulousain notre « questionnaire de Proust » maison.
Attendu avec impatience vu la moisson de prix récoltés au Japon, Blue Period conjugue empathie envers son touchant protagoniste aspirant à devenir peintre et informations à destination de tous ceux qui aimeraient suivre le même chemin…
Devant la véritable catastrophe industrielle qu’est la série de SF Raised By Wolves, le téléspectateur accablé en est réduit à se demander quel a été le rôle de son idole Ridley Scott dans cette sombre affaire.