En vacances temporaires de The National, Matt Berninger nous offre avec son premier album solo, Serpentine Prison, un grand voyage intime pour clore l’année 2020 en toute mélancolie et en toute beauté…
Vous aviez aimé Mulan (le dessin animé de 1998…) ? Evitez à tout prix le massacre qu’est cette version de 2020… vous vous épargnerez en plus le sentiment de culpabilité de soutenir quelque part la « politique chinoise » de la Maison Disney.
Richard Corben est décédé début décembre, et c’est une triste nouvelle, passée trop inaperçue. Heureusement, il nous reste à lire ce Murky World, « corbenien » en diable : un régal de créativité, d’humour et de sensualité.
Et si Jon Favreau avait eu raison, depuis le début ? Toujours relativement enfantine dans son approche, la série The Mandalorian gagne paradoxalement ses lettres de noblesse avec cette seconde saison, dans la droite ligne de la première, mais… en mieux.
Il était difficile de ne pas se réjouir à l’annonce de la sortie pour la saison des cadeaux de Noël d’un album « de confinement » de la part de McCartney. La déception est à la hauteur de nos attentes…
Avec leur projet Birds on a Wire, consacré à la revisite des chansons qui ont marqué leur enfance, Rosemary Standley et Dom la Nena ont réenchanté par la grâce de leurs deux voix et d’un violoncelle maints classiques du folklore mondial, de la chanson, du rock.
On n’est pas philosophe parce qu’on accumule les bonnes questions sur le devenir de l’humanité. On n’est pas un grand auteur de BD parce qu’on maîtrise la beauté formelle de ses ouvrages. Voilà la double leçon qu’on peut tirer de la lecture – éprouvante – de Carbone & Silicium.
Echappée en solitaire très intime et intimiste pour Tom Sanders, le leader de nos chouchous de Teleman : pas si loin que ça des musiques du groupe, Only Magic nous propose une version plus dépouillée et plus mélancolique de leur électro-pop.
Voilà (enfin !) une adaptation de manga célèbre qui est une petite réussite cinématographique : Alice in Borderland enchantera les accros au shōnen, mais à des qualités qui pourraient bien séduire un public plus large.
L’Aliéniste, série populaire tirée de romans à succès, est l’un des rares exemples à date d’une seconde saison très supérieure à la première. Une bonne raison pour battre le rappel des téléspectateurs que la série avait déçus…