
[Live Report] Mattiel à la Maroquinerie : les terres du Rock américain
On attendait beaucoup de Mattiel, après deux albums intéressants : sa prestation, très électrique, à la Maroquinerie a clairement divisé le public…
On attendait beaucoup de Mattiel, après deux albums intéressants : sa prestation, très électrique, à la Maroquinerie a clairement divisé le public…
Mardi, nos espoirs jurassiens de Gliz donnaient enfin un concert dans une bonne salle parisienne, l’Espace B : l’occasion de voir enfin interprétées sur scène ces chansons qui nous avaient tellement impressionnées sur leur premier album, Cydalima.
Il y a finalement trop peu de films ou de séries d’espionnage « sérieux » pour qu’on boude The Spy, le récit de l’incroyable mais vraie infiltration d’un agent israélien en Syrie.
Le très court Engine of Paradise marque le retour d’Adam Green en crooner : plus mûr, mais toujours aussi décalé et délicieux. Un disque au charme fou.
De retour à Manhattan sur une partition qu’il maîtrise parfaitement depuis toutes ces années, le vieux maestro nous fait oublier pendant une heure trente toute la polémique qui fait rage autour de lui.
Passionnante auto-biographie d’un jeune expatrié, Bienvenue en Chine nous fait partager son aventure professionnelle, mais reste sans doute un peu trop timide sur le versant sentimental et émotionnel.
Le bruit courait du côté de Rouen quant à l’excellence de MNNQNS, nouvelle expression locale urgente et mélodique du Post Punk. Leur premier album, Body Negative, ne déçoit pas.
La saison 2 du brillant et cérébral Mindhunter semble avoir déçu pas mal de téléspectateurs… A juste titre ?
Norman Fucking Rockwell marque le retour aussi inespéré qu’inattendu de Lana del Rey au sommet, et fonctionne surtout grâce à des textes incandescents et « près de l’os », qui la distingue des autres artistes pop américaines.
The Leisure Society, dix ans après Sleeper, sont revenus avec Arrivals & Departures, superbe opus qu’ils peinent néanmoins à défendre sur scène…