« Le Mohican » de Frédéric Farrucci : le dernier des…
La Corse va mal, on le sait depuis longtemps, mais rien ne change. Le Mohican parle de résistance, et c’est beau, mais ça ne fait pas pour autant un film réussi.
La Corse va mal, on le sait depuis longtemps, mais rien ne change. Le Mohican parle de résistance, et c’est beau, mais ça ne fait pas pour autant un film réussi.
Lundi soir, aux Etoiles, The Heavy Heavy nous ont fait énormément de bien en nous ramenant à Laurel Canyon, dans les années 70. Sur scène comme dans la salle, le mot d’ordre était à la joie, entre mélodies plaisantes et passages instrumentaux intenses !
On savait difficile, voire impossible, de donner une suite au chef d’œuvre absolu qu’est le premier livre de Moi, ce que j’aime, c’est les monstres, mais, après un démarrage un peu lent, Emil Ferris nous scotche à nouveau. Vivement la suite !
Arrivés à leur troisième album, les aventuriers sonores de Squid, qui nous avaient déroutés avec leur O Monolith, nous offrent avec Cowards un disque plus accessible, en dépit des thèmes très sombres de ses chansons, sans pour autant renoncer à leurs audaces musicales.
Reservoir of Love marque le grand retour de la merveilleuse Shannon Wright. Un retour qui se caractérise par une excellence absolue, dans cet assemblage étonnant réussi entre pulsions électriques « rock » et ballades dépouillées…
En Iran, c’est finalement le bonheur qui est interdit. Mon gâteau préféré nous rappelle l’importance des petits moments anodins qui constituent l’essence d’une vie, et c’est fort.
Il nous a fallu encore attendre quatre ans pour voir paraître un nouveau Donjon Parade, mais, aidé du dessin inspiré et inhabituel de Tebo, Le sirop des costauds amorce le grand retour de la série en 2025 !
A contrario d’une bande annonce qui promet une maison hantée très convenue, le nouveau Soderbergh est une expérience de cinéma faussement léger, qui parle d’un sujet très actuel. Une jolie surprise.
Mini-série ultraviolente construite à partir de l’épisode de la Guerre de l’Utah connu comme le massacre de Mountain Meadows, American Primeval, en dépit de ses excès, a le mérite de dépeindre sans fards les horreurs de la naissance des Etats-Unis…
Premier « disque de Nashville » dans la discographie typiquement plus austère de Will Oldham, The Purple Bird est un album plus accueillant, presque optimiste, que son travail habituel. Est-ce un mal ?