
« C’est pas moi » de Leos Carax : le grain de (la) beauté et l’envol
Même si, avec seulement 40 minutes, C’est pas moi ne signe pas officiellement un retour de notre cher Leos Carax, c’est quand même l’occasion de savourer du grand cinéma.
Même si, avec seulement 40 minutes, C’est pas moi ne signe pas officiellement un retour de notre cher Leos Carax, c’est quand même l’occasion de savourer du grand cinéma.
Il faut bien avouer qu’Ishana Shyamalan est loin d’avoir le talent de mise en scène remarquable de son papa, et que pour son premier film, Les guetteurs, elle s’intéresse à des sujets fantastiques trop similaires pour vraiment nous convaincre…
Quelle est la meilleure façon de sensibiliser l’Américain moyen aux dangers de la fracturation hydraulique pour extraire le gaz de schiste ? Sean Ford a opté pour un récit fantastique terrifiant, imaginant des conséquences désastreuses pour une petite communauté perdue dans le désert américain…
Dans la droite ligne des saisons précédentes, la conclusion de Sweet Tooth, fable apocalyptique très noire repeinte en récit largement feelgood, échoue à traduire à l’écran la force des idées qu’elle véhicule. Un échec sans appel.
Est-ce que vous avez un disque qui a définitivement changé votre vie ? Pour moi, ce fut ce 1969, enregistrement live du Velvet Underground, qui me marqua pour toujours. Un album régulièrement classé parmi les 100 plus importants de l’histoire du Rock…
Beaucoup plus ambitieux et moins accessible que ses prédécesseurs, Below the Waste, le troisième album de Goat Girl est une proposition déroutante, voire franchement barrée, loin du post punk ou de la pop des débuts.
Altérant un peu son principe en injectant une dose de confusion familiale évoquant la brillante série allemande Dark, tout en restant abstraite et mystérieuse, Outer Range confirme avec sa seconde saison sa magnifique singularité.
Véritable objet conceptuel, quasi avant-gardiste à sa parution en 1963, Les Bijoux de la Castafiore est l’un des Tintin sur lequel on a le plus disserté. Excès d’intellectualisme ? Non, il le mérite !
On sait depuis un moment que l’heure de gloire du « film de serial killer », un genre à part entière, est loin derrière nous. Et ce n’est pas le polar plan-plan et faiblard que nous propose Prime Video avec ce Damaged qui va améliorer les choses !
Alors que le monde semblait s’effondrer dans la foulée des résultats des élections européennes, Jeff Rosenstock a offert à un Point Ephémère bondé et extatique une belle parenthèse enchantée, joyeuse et positive.