
« Walk On The Wild Side » de Voloj et Mosdal : au delà de Warhol et du Velvet…
Biographie de la « superstar » transgenre de la Factory que fut Candy Darling, Walk On The Wild Side est surtout une belle histoire d’amitié, qui nous touche au cœur.
Biographie de la « superstar » transgenre de la Factory que fut Candy Darling, Walk On The Wild Side est surtout une belle histoire d’amitié, qui nous touche au cœur.
Objet féministe étrange et pas forcément convaincant, Il reste encore demain est le genre de film qui hérisse le poil du cinéphile, mais plaît beaucoup au « grand public ». Est-ce une tare ?
Après un mois de mars chargé, les aficionados de la musique live pourront prendre un peu de repos. Pas d’inquiétude néanmoins : Echo and the Bunnymen, Yard Act, And Also The Trees, Porridge Radio, Altin Gün, The Jesus and Mary Chain, Simple Minds, Timber Timbre, Cat Power, et bien d’autres passeront par Paris !
A partir d’une idée passionnante, Constellation se met à tourner en rond et ne débouche pas sur grand-chose de consistant, malgré des qualités indéniables.
Peu commentée, et désormais reléguée sur TF1+, Poker Face est un drôle d’objet qui voit Rian Johnson faire ses gammes dans la série TV traditionnelle, celle d’avant la révolution formelle de la fin des années 90. Même si la réussite n’est pas totale, c’est une approche intéressante…
La Belgique, qui est décidément en ce moment un incubateur de grands groupes et artistes de Rock, nous a envoyé Whispering Sons pour sauver un Post-Punk bien mal à point à force de ressassement.
Le retour de Beth Ditto, cette fois sous le format de son groupe Gossip, est une bénédiction en ces temps difficiles aux USA où les voix réactionnaires montent en puissance et où bien des acquis démocratiques sont remis en question.
Seulement 3 ans après la BD de Prosperi Buri sur le Velvet Underground, voici une nouvelle approche de l’histoire du groupe séminal qui réinventa radicalement la musique entre 1966 et 1970 : précis, bien documenté, voici un biopic respectueux du mythe qui ravira les fans…
En tournée en France, les Death Valley Girls passent par Paris ce jeudi à La Station – Gare Des Mines, et nous en avons profité pour poser quelques questions à Bonnie Bloomgarden sur l’évolution du groupe et de sa musique…
C’était une fausse bonne idée de jouer Bossanova et Trompe le Monde dans leur intégralité. C’était une erreur de virer Paz Lenchantin. C’était inexcusable de faire en sorte que les amplis de Frank Black couvrent le reste du son. Le résultat, à partir de là, était tristement prévisible…