Get Well Soon – Love
Konstantin Gropper de Get Well Soon fait finalement toujours un peu le même album mais il le fait tellement bien qu’on ne peut que l’aimer d’amour.
Konstantin Gropper de Get Well Soon fait finalement toujours un peu le même album mais il le fait tellement bien qu’on ne peut que l’aimer d’amour.
Avec ce second album, le duo lyonnais Harpe/Guitare prouve une fois encore qu’il n’est pas seulement un concept musical mais bel et bien un univers plein et entier.
Baptiste Walker Hamon quitte l’enfance pour entrer dans les temps de l’insouciance avec onze chansons aux accents country.
En escapade solo de son projet June Et Jim, Borja Flames évolue dans un folk hybride, tribal, coloré, un pied dans la Latinité des suds d’une Violeta Parra, l’autre on ne sait où.
Souvent négligé quand on cite les grands noms de notre chanson hexagonale, William Sheller revient avec un grand cru ouvert à toutes les libertés.
On avait aimé très très fort Memoryhouse sur ses premiers EP puis un peu moins avec le premier album. Avec Soft Hate, leur second LP, on est quelque part en renouvellement raté et immobilisme.
Disque de synthèse pour Matt Elliott, disque d’équilibre aussi et disque faux-semblant pour un septième album solo comme une nouvelle variation du désespoir.
A jamais orphelin de l’absence de Stina Nordenstam, ce cinquième album d’Anne Garner, comme une apologie de la fragilité, de l’économie de moyens n’en finira pas de vous briser le cœur.
Olivier Longre revient avec un second album comme une interrogation du passé. Fruit de la découverte fortuite de la correspondance de ses arrière-grands-parents durant la première guerre mondiale.
Alma Forrer, avec son second Ep, fait fi des clochers et de ses querelles, n’hésitant pas à faire se confronter des univers volontiers perçus comme antagonistes.