Le monde est à toi : farce hype branchée sur Chérie FM
Huit ans après le choc Notre jour viendra, Romain Gavras revient avec une farce branchouille qui ne propose rien de plus qu’un sympathique foutoir nappé de soupe populaire.
Huit ans après le choc Notre jour viendra, Romain Gavras revient avec une farce branchouille qui ne propose rien de plus qu’un sympathique foutoir nappé de soupe populaire.
Sixième mission impossible pour Ethan Hunt, entre poursuites endiablées parisiennes et londoniennes et combat d’hélicoptères au Cachemire. Spectaculaire et distrayant, mais sans vraiment d’originalité.
Entremêlant polar pluvieux, chronique sociale et histoire d’amour, Une pluie sans fin ne parvient jamais à trouver le bon timing pour faire coexister ces trois genres.
Thomas Riedlsheimer retrouve le land artist Andy Goldsworthy pour une nouvelle exploration de son travail, en prise directe avec la Nature, ses matières et ses formes.
Avec Dogman, Matteo Garrone revient aux choses plus que sérieuses en adaptant un terrible fait divers qu’il transforme en une allégorie religieuse, âpre et macabre.
Christopher Radcliff et Lauren Wolkstein signent avec The strange ones un premier film beau et envoûtant, road movie irréel de deux frères aux relations troubles.
Au poste ! Un gentil petit exercice de style entre amis où Quentin Dupieux tâte une fois de plus de l’absurde et du non-sens. Mais sans parvenir à se renouveler.
Une suite solide et efficace au magnifique Sicario de Denis Villeneuve, en dépit d’une certaine redite scénaristique et d’un effet de surprise qui s’est émoussé.
Pour son premier long-métrage, Ari Aster signe un film d’horreur et d’angoisse réussi dans la lignée des récents The Witch et It comes at night, hanté par une Toni Collette en mode Possession.
Rachel Weisz et Rachel McAdams, magnifiques, s’aiment en secret derrière la caméra de Sebastián Lelio. Un film aussi doux qu’il est convenu.