
« Anora » de Sean Baker: du (parfois) bon déjà vu newyorkais.
Dans ses meilleurs moments, Anora est un film d’auteur à la newyorkaise pas très original mais enlevé. Il est hélas aussi laborieux dans son décollage que poussif dans sa conclusion.
Dans ses meilleurs moments, Anora est un film d’auteur à la newyorkaise pas très original mais enlevé. Il est hélas aussi laborieux dans son décollage que poussif dans sa conclusion.
Documentaire sur le second album de New Order, Power, Corruption & Lies – Un Album Culte rappelle que les Mancuniens avaient décloisonné les frontières musicales dès le début des années 1980.
En 1997, Miyazaki atteint un Everest cinématographique tout en trustant les sommets du Box Office japonais avec Princesse Mononoké.
Une semaine avant Anora, la Palme d’or cannoise de Sean Baker, Starlet sort enfin en salles en France. L’occasion de découvrir un récit d’amitié intergénérationnelle tirant son charme de petits imprévus.
Remake par John Woo en personne d’une pierre angulaire du cinéma d’action contemporain, The Killer se saborde à coup d’erreurs de casting au kilomètre.
Après la superbe mise en bouche de la Saison 1, la Saison 2 de Pachinko a des airs de saison de transition. Son foisonnement frôle l’indigestion. Contrecoup d’un niveau d’ambition rare dans les séries de ces dernières années ?
Avec All We Imagine As Light, Payal Kapadia livre un premier long de fiction sous influences pas totalement digérées et se distinguant difficilement d’un type de cinéma trop vu en festival.
Wise Guy: David Chase and the Sopranos représente la commémoration du quart de siècle d’une série qui fit date. C’est surtout l’occasion d’entendre un David Chase, pas très enclin à s’exprimer sur son travail, parler longuement de sa création.
Projet de toute une vie très mal accueilli sur la Croisette, Megalopolis compense ses faiblesses d’écriture scénaristique par la volonté toujours vivace d’expérimentation formelle de Francis Ford Coppola.
Parce qu’il était impensable d’attendre le quarantième anniversaire de l’album pour en parler, Tim, réussite des Replacements, est évoqué 39 ans jour pour jour après sa sortie. En partie au travers d’une réédition remixée remarquée aux Etats-Unis l’an dernier.