
Rétrospective Martin Scorsese : 2. Bertha Boxcar (1972)
Après un premier film au tournage chaotique, la route de Scorsese passe par la Série B. Un cadre dans lequel le cinéaste peine à trouver ses marques.
Après un premier film au tournage chaotique, la route de Scorsese passe par la Série B. Un cadre dans lequel le cinéaste peine à trouver ses marques.
Au vu des controverses cinéphiles liées à son sujet et de son dispositif radical, le Grand Prix cannois a peu de chances de fédérer. Il demeure cependant une passionnante proposition de cinéma.
Nous commençons une nouvelle rétrospective du travail de Martin Scorsese avec Who’s That Knocking at My Door, un premier film rappelant que tous les coups d’essai ne sont pas des coups de maître !
Avec Hallyuwood, Le Cinéma Coréen, Bastian Meiresonne offre un panorama complet du cinéma coréen en français mettant en relation son présent et son passé.
Avec Menus-Plaisirs – Les Troisgros, Frederick Wiseman pose sa caméra du côté de la haute cuisine française pour une proposition de cinéma au goût pas déplaisant mais restant un peu sur l’estomac.
Après avoir produit une belle somme sur le polar hongkongais, Arnaud Lanuque offre avec Tsui Hark – La Théorie du chaos un livre de référence sur l’une des figures les plus iconoclastes du cinéma asiatique.
Enfin traduit en français, Laisse le flingue, prends les cannolis : Le Parrain, l’épopée du chef-d’oeuvre de Francis Ford Coppola raconte la genèse d’un classique du cinéma des années 1970 comme un fleuve long et tortueux, une bataille entre un cinéaste et un studio.
Ou le début du moment le moins agréable de la rétrospective : devoir rendre compte des années de vaches maigres bowiennes. Let’s Dance fut un triomphe commercial, et reste un album écoutable, mais marque le moment où Bowie se perd à vouloir épouser l’air du temps des années 1980.
Désormais nanti d’une réputation de performer live incandescent, Yves Tumor se produisait de nouveau à Paris. Pour une déception en partie liée aux parti pris d’éclairage du concert.
Dans son autobiographie La Vie extraordinaire d’un homme ordinaire, Paul Newman offre un autoportrait en grande star hollywoodienne doutant en permanence de sa légitimité d’acteur.