
« Oppenheimer » : Christopher Nolan en mode surchauffe
Si l’ambition de Christopher Nolan est louable dans un contexte hollywoodien bas du front, dans Oppenheimer, elle est souvent synonyme de vouloir trop en faire.
Si l’ambition de Christopher Nolan est louable dans un contexte hollywoodien bas du front, dans Oppenheimer, elle est souvent synonyme de vouloir trop en faire.
Influencé (un peu) par le Thin White Duke et (beaucoup) par les Fab Four, The Ballad of Darren n’est pas un album majeur de Blur. Mais c’est celui du passage réussi du cap de la trentaine.
Si le mix 2023 de l’Homme à la Tête de Chou, soit l’un des sommets de la chanson française, vaut en tant que version alternative, ses bonus sentent le remplissage…
Volet dont la seconde moitié sera visible en 2024, Mission Impossible : Dead Reckoning, Partie 1 est trop long. Mais comporte comme d’habitude avec la franchise quelques scènes d’action valant le déplacement.
Se situant dans le prolongement de son récent travail littéraire, I inside the old year dying, le nouvel album de PJ Harvey souffre d’une inspiration trop inégale.
Quand bien même sa seule actualité musicale était un Christmas album, le concert de Chris Isaak à l’Olympia fut finalement réussi…
Lorgnant vers une idée plus classique de la pop que le travail des Fontaines D.C., Chaos for the fly, l’album solo de leur leader, Grian Chatten, manque de titres forts pour convaincre.
S’il est possible de trouver les choix d’orchestration de ce concert des Who discutables au regard de l’histoire du groupe, le charisme et le talent de Daltrey et Townshend ont maintenu à flôt leur retour scénique en France.
Cherchant en partie à renouer avec les thèmes des meilleurs films de Wes Anderson, Asteroid City se perd à force de trop de cérébralité et d’une narration inutilement alambiquée.
Difficile d’espérer du professionnalisme des Black Keys plus qu’un « bon concert », ce qui n’est déjà pas si mal, mais ils nous avaient réservé pour cette soirée au Zénith une jolie surprise finale…