[Croque Note] Jambinai – Onda
Troisième volet des chroniques en bande dessinée de Florian Sanfilippo. Cette semaine il évoque le post-rock des Sud-Coréens de Jambinai et leur excellent nouvel album Onda.
Troisième volet des chroniques en bande dessinée de Florian Sanfilippo. Cette semaine il évoque le post-rock des Sud-Coréens de Jambinai et leur excellent nouvel album Onda.
L’absurde se porte bien en ce moment dans le cinéma français. le film Yves de Benoît Forgeard est une agréable satire du monde contemporain… qui souffre néanmoins d’une durée excessive.
Premier film de Monia Chokri, une proche de Dolan, La Femme de mon Frère est un brillant essai formaliste, qui s’épuise malheureusement sur une durée trop longue.
Un documentaire d’animation en forme de portrait sans concession du cinéaste Luis Buñuel, à travers une sorte de making-of fictionnel reconstitué, lors du tournage du long métrage Terre sans pain (1933).
Faute de faire confiance à son spectateur et de s’en tenir à son programme initial, le premier film de Laure De Clermont-Tonnerre ne tient pas toutes ses promesses.
Après une année passée sur les planches, Bruce Springsteen revient avec ce Western Stars, qui était dans les cartons semble-t-il depuis presque deux ans. Pas de répit pour le songwriter américain qui prépare pour la fin de l’année un album avec le E-Street Band.
Deuxième épisode des chroniques en bande dessinée de Florian Sanfilippo. Le dessinateur évoque cette semaine Levitation, le nouvel album de Flamingods.
Quand on pense au Texas, on imagine plutôt des cowboys sur fond de musique country mais rarement à la soul. Pourtant, il y a de vrais talents qui savent chanter la musique de l’âme au pays des éleveurs de bétails, la preuve avec ces pumas noirs.
La réalisatrice et scénariste roumaine Adina Pintilie nous propose avec Touch Me Not un voyage intime entre réalité et fiction, en compagnie de plusieurs personnes qui dévoilent sans pudeur leurs trajectoires émotionnelles.
Et si la nouvelle « série prestigieuse » de chez Amazon, signée NW Refn, représentait ni plus ni moins que l’aboutissement à date de ce réalisateur célébrant la décadence de l’humanité ?