
The Rentals – Lost in Alphaville
Retour en forme après 16 ans d’absence des Rentals avec un disque enthousiasmant de power-pop, « Lost in Alphaville ».
Retour en forme après 16 ans d’absence des Rentals avec un disque enthousiasmant de power-pop, « Lost in Alphaville ».
La rentrée n a pas que des inconvénients : entamer septembre au son du Closing Time de Erland & The Carnival sera une des belles consolations de la saison. Mélodique, stylé et intemporel, un troisième album en forme de futur classique de la pop anglaise.
Martin, un professeur d âge avancé, est retraité dans un village des Apennins. Il y vit, pas à tout à fait seul car il s entoure aussi à l occasion d animaux qui lui parlent, tel son chien. Il n est pas un ermite intégral car il est resté en contact avec Remorus…
Deuxième volet de notre épopée gontardienne : interview du petit prince de l’underground… du Lacenaire du talk-over… Who are you Gontard ! ?
Ici Radio Gontard!, la station pirate, la petite flamme qui vacille dans ta nuit sans fin… pas sûr que le jour revienne de sitôt alors le souffle furieux est ici pour la faire fuir cette pute… au cas où… Gontard! est là pour te sauver, pour te dire à quel point tu t es paumé.
L’été n’a pas eu lieu ? Ne cherchez plus, vous le trouverez dans ce deuxième album des australiens de The John Steel Singers, joyeuse bande qui vous vengera avec leur psyché sunshine pop, colorée et festive. Groove is in « Everything’s A Thread ».
A lui tout seul, l australien Lawrence English, producteur et fondateur du label Room40, fait figure d artiste protéiforme incontournable de la scène électronique et visuelle internationale.
A mi-chemin entre saga scandinave moyenâgeuse et légendes hindoues, « Manesh », premier roman du Belge Stefan Platteau l’impose déjà comme un grand conteur de fantasy.
Qui est Maria Enders ? Une comédienne de renom, probablement de nationalité française – elle règle son divorce et le partage de ses biens immobiliers […]
Polar brutal et désespéré, » Blue Ruin » va bien au-delà du bête et méchant » revenge movie ». Le second long-métrage de Jeremy Saulnier propose une plongée hallucinée dans un abîme de violence sans fond.