Neil Holyoak – Rags Across the Sun
Les albums tranquilles sont parfois les plus touchants et celui de Neil Holyoak, dans la pure tradition du songwriting américain, en est une nouvelle preuve.
AuthorBenzine
Ekoplekz – Unfidelity
Urgence du langage et production pointilliste qui ne laissent personne sur le côté, évitant les préceptes abscons de la pensée pour une musique qui se ressent et se vit jusqu au plus profond des entrailles.
The Raveonettes – Pe’Ahi
Le duo abrasif venu du froid The Raveonettes est de retour avec un septième album, Pe’Ahi. Un nouveau disque décapant qui convaincra facilement les amateurs de garage rock mélodique.
Avi Buffalo – At Best Cuckold
Quatre ans après, l’ami Avi est revenu et on est bien content de l’avoir attendu. Petite merveille en équilibre entre pop juvénile et confessions introspectives, At Best Cuckold impose le talent insolent du farfadet californien, roi du solo de guitare écoutable. Il est libre, Avi.
Tricky – Adrian Thaws
Tricky revient sur son propre label False Idols pour un onzième album, Adrian Thaws, qui ne bouleversera pas sa discographie. Avec quelques bons morceaux mais trop inégal.
Rencontre avec Benoit Delépine à propos du film Near Death Experience
Benoit Delépine s explique en long en large et en travers à propos du film « Near Death Experience » co-réalisé avec Gustave Kervern… Et d’abord, pourquoi Houellebecq ?
Angus and Julia Stone – Angus and Julia Stone
Un poil plus rock, un peu plus suave, le duo australien composé d’Angus et Julia Stone gagne en maturité pour des retrouvailles réussies sur leur troisième album éponyme. Le tout produit par le producteur star Rick Rubin.
Métamorphoses – Christophe Honoré
Programmé comme un bain de jouvence en pleine rentrée de cinéma français morose (un Jacquot misérable, une Party Girl convenue), Métamorphoses de Christophe Honoré, librement adapté d’Ovide, n’enchante qu’à de bien rares moments.
Mademoiselle Julie – Liv Ullmann
L’ex égérie de Bergman propose une nouvelle version de Mademoiselle Julie dans une adaptation fidèle, respectant le texte et la complexité de Strindberg. Au risque d’être un peu sage.
King Kong Was A Cat – The Host
King Kong Was A Cat revient piétiner d’un pas lourd les platebandes des genres musicaux pour un album plus rock que le précédent. Et ça dépote !