
« Les bons sentiments » de Karine Sulpice : aux sources d’un burn-out associatif
Avec Les bons sentiments, Karine Sulpice signe un premier roman prenant, qui décortique avec justesse l’envers du décor dans les milieux associatifs.
Avec Les bons sentiments, Karine Sulpice signe un premier roman prenant, qui décortique avec justesse l’envers du décor dans les milieux associatifs.
Notre rédacteur, venu beaucoup pour voir Richard Ashcroft en première partie, retrouve Lenny Kravitz après trente-quatre ans : c’était à la Défense Arena, et il nous raconte ça !
C’est avec un brin d’optimisme cueilli par le biais de l’imaginaire, que Imane El Halouat parvient à décrocher les étoiles, nous invitant à savourer les parfums sonores d’un jardin céleste.
Avec Vermiglio ou la mariée des montagnes, le cinéaste italien Maura Delpero, sans chercher à particulièrement innover, parvient néanmoins à construire un grand film, inspiré de l’histoire de sa famille.
JOI a opté pour une formule idéale, sous la forme d’un duo, qui, depuis son précédent EP instrumental, s’est enrichi d’un chant et d’une puissance redoutable.
Parce qu’il s’agit possiblement du sommet de l’œuvre de David Lynch, parce qu’il est classé régulièrement comme le meilleur film du XXIème siècle, nous avons décidé chez Benzine que Mulholland Drive méritait un travail choral, que plusieurs voix seraient nécessaires pour lui rendre hommage…
Dans La Spirale du Milan Royal, Vincent Maillard raconte avec un humour corrosif, la reconstruction d’une famille après une cruelle tragédie. Aussi haletant et bien construit que son précédent roman, Le smoking des orques.
Après la relecture azimutée de Jeanne d’Arc dans Fantaisies Guerrières, Guillaume Lebrun s’intéresse cette fois à la figure de Heliogobale, pour interroger la question du genre, des libertés sexuelles et religieuses, mais avec beaucoup moins de réussite.
Daniel Kehlmann excelle toujours lorsqu’il se lance dans une biographie romancée, exofiction pour les puristes. Il ne déroge pas à la règle avec celle-ci, consacrée au cinéaste George Wilhem Pabst.
La musique a gâché ma vie. Par ce titre angulaire, qui prend une tout autre signification, Stan Cuesta que l’on connait pour sa discrétion, a écrit un recueil de nouvelles autofictionnelles, où il parvient à nous faire revivre tout un pan de notre enfance…