
Amber Asylum – Ruby Red : un pierre précieuse inestimable
Amber Asylum, le quatuor féminin tout droit venu de San Francisco, signe Ruby Red, un disque envoûtant, qui n’a pas d’égal à ce jour.
Amber Asylum, le quatuor féminin tout droit venu de San Francisco, signe Ruby Red, un disque envoûtant, qui n’a pas d’égal à ce jour.
Ce dernier volet de la saga Mission : Impossible nous perd dans d’interminables dialogues où l’on répète en permanence les enjeux et les plans qu’on échafaude. Malgré deux séquences très réussies, le film déçoit dans ses grandes largeurs.
Il y a 45 ans, jour pour jour, Ian Curtis se donnait la mort. Closer, le second album, posthume donc, de Joy Division nous parle mieux que quiconque de cette tragédie…
Découvrez L’Effet Papillon, une BD-docu intime qui suit pas à pas l’expérimentation Territoire zéro chômeur. À travers des récits de vie, explorez comment des hommes et des femmes retrouvent espoir et dignité au travail. Plongez dans cette aventure humaine !
Raoul Eden a sorti Incarnation en 2024. Depuis, le guitariste poursuit sa tournée, égrenant à qui veut bien l’écouter, contes et légendes rapportées dans sa besace. Un album d’une grande beauté, nécessaire en ce bas monde.
Emmanuel Finkiel poursuit son obsession pour la seconde guerre mondiale et le sort des juifs durant cette période. Cette fois, avec La Chambre de Mariana, il adapte le roman éponyme d’Aharon Appelfeld paru en 2026.
(Faux) dernier film de Cronenberg, les Linceuls est loin d’être l’un de ses meilleurs, mais nous offre un propos intime et frontal sur la question deuil, malheureusement dégradé par une seconde partie trop complexe.
Dans notre chronique du jeudi, Tiens écoute ça !, on vous parle cette fois de This Could Be My Moment, une autre pépite pop de The Verve, les responsables de Bitter Sweet Symphony !
Leon Leger est mort dans des conditions mystérieuses, semble t-il assassiné. Cent personnes sont regroupées au cimetière pour son enterrement. Christophe Wojcik croque la mort avec son humour noir habituel dans un roman, tout sauf triste.
Grand Prix de la Semaine de la critique, à Cannes en 2024, Simón de la montaña se présente comme un récit initiatique atypique, rivé au point de vue de son personnage principal. Une œuvre riche et pleine de vie.