
« Ryuichi Sakamoto : Opus » de Neo Sora : Dernier souffle.
Signé par Neo Sora (fils du compositeur), Ryuichi Sakamoto : Opus donne à voir et écouter le (très émouvant) dernier concert d’un Sakamoto se sachant condamné.
Signé par Neo Sora (fils du compositeur), Ryuichi Sakamoto : Opus donne à voir et écouter le (très émouvant) dernier concert d’un Sakamoto se sachant condamné.
Classique du film de concert présentant les Talking Heads au sommet de leur créativité, Stop Making Sense est repris en salles en France. L’occasion de revenir sur un projet de cinéma parfaitement synchrone de la vision artistique du groupe qu’il filme.
La réalisatrice Marion Angelosanto nous raconte quatre ans de galère pour les habitants d’un immeuble prêts à tout pour le sauver. En filigrane, elle dresse le portrait touchant d’une petite communauté de personnes de conditions et d’origines diverses.
Quelles visions et quels souvenirs peut-on faire parvenir à l’humanité, en conciliant le passé avec le présent ? C’est en ces termes que 118, Telemly réussit à restituer le cheminement, durant la décennie noire, d’une jeunesse algérienne éprise de culture underground…
Avec son documentaire Tardes de soledad, Albert Serra s’avance sur la corde raide avec un film ne cherchant pas le pamphlet anti-tauromachie sans pour autant nier la violence de la discipline.
À partir des commentaires de spécialistes de Velazquez, Stéphane Sorlat analyse l’esthétique du peintre espagnol, se penche sur le mystère que recèlent plusieurs de ses tableaux majeurs et met en évidence son influence sur des générations d’artistes.
Dans une série en dix épisodes racontée à la première personne, Alfred de Montesquiou trace une fresque historique de la vie de César, de ses premiers déboires à Rome jusqu’à sa chute au Sénat romain.
Strip-tease se dévoile à nouveau au cinéma, avec cette fois cinq segments inédits dans lesquels on va croiser des personnages farfelus, singuliers, horripilants… dans la grande tradition de ce programme imaginé par Jean Libon et Marco Lamensch il y a 40 ans.
Vincent Lindon n’est pas un acteur comme les autres. Pour celles et ceux qui en doutent encore, on ne peut que leur conseiller d’aller regarder, sur Arte, l’étonnant film documentaire de Thierry Demaizière et Alban Teurlai, intitulé « Vincent Lindon, cœur sanglant ».
Alors qu’a débuté le 6 janvier dernier le procès des prévenus dans l’affaire Kadhafi-Sarkozy, dont Sarkozy lui-même, ce documentaire passionnant nous fournit un rappel bienvenu et absolument limpide de ce qui pourrait être l’un des plus gros scandales de corruption sous la 5e république.