
[Netflix] La Cité invisible : une sirène à Rio
Étonnante série faisant se croiser des préoccupations écologiques avec un drôle de bestiaire du folklore brésilien, la Cité invisible échoue à matérialiser ses bonnes intentions…
Étonnante série faisant se croiser des préoccupations écologiques avec un drôle de bestiaire du folklore brésilien, la Cité invisible échoue à matérialiser ses bonnes intentions…
Dans son dernier roman, « d’anticipation » cette fois, 2030, Djian semble n’utiliser le thème de l’écologie que pour mieux nous refiler ses mêmes vieilles histoires, qui n’avancent décidément plus.
L’édition surprise d’une version live de Greendale, le « livre audio » de 2003 de Neil Young, fait mieux que nous faire patienter en attendant le Volume 2 des Archives, elle nous permet de réévaluer une œuvre qui avait été négligé à l’époque de sa sortie.
Et si le monde que nous avons créé, à force de science incontrôlée et d’avidité financière, nous entraînait vers des mutations radicales ? C’est le sujet, lourd et complexe, que développe “Un homme comme une autre”, une lecture indispensable.
Tout est quand même maîtrisé et calculé, l’effet ébranle un peu pour la forme : plus de 3 millions de vues au compteur. Rendez-vous sur la chaîne YouTube de Michael Moore jusqu’au 22 mai 2020 pour voir en accès libre Planet of the Humans.
Présents au Festival de BD d’Angoulême, Inès Léraud et Pierre Van Hove nous ont parlé de leur enquête-fleuve concernant la pollution aux algues toxiques en Bretagne.
Pour inaugurer la nouvelle décennie, quoi de mieux qu’une BD d’anticipation ? C’est sûr, le déluge aura lieu, mais loin de nous affoler, les auteurs nous proposent un récit lucide empreint de réflexion…
L’Amazonie, une région extraordinaire qui bientôt ne sera plus qu’un mythe. Et quand Louise Joor parle d’elle au futur, ce n’est pas le feu, mais une catastrophe nucléaire qui l’a durement éprouvée…
Si comme Catherine Meurisse, il vous arrive de vous sentir à l’étroit dans votre appartement parisien, franchissez avec elle sa « porte spéciale » et plongez-vous dans un océan de verdure.
Bong Joon-ho signe une fable écolo-naïve, entre Spielberg et Miyazaki, éminemment sympathique, formellement réussie mais un rien décevante dans sa globalité.