
[MAX] « The Last of Us – Saison 2 » : plus un OVNI…
Inévitablement moins époustouflante que la première, cette seconde saison de Last of Us alterne des hauts et des bas, mais, au moins, ne nous fâche pas avec la série…
Inévitablement moins époustouflante que la première, cette seconde saison de Last of Us alterne des hauts et des bas, mais, au moins, ne nous fâche pas avec la série…
Tout en respectant les principes établis par les deux premières saisons, The White Lotus continue à nous intéresser, voire à nous séduire, grâce à des personnages finement écrits et interprétés.
Riche année 2024 en termes de série TV, avec, et c’est suffisamment rare pour le souligner, un consensus assez facile à créer autour de quelques mini-séries ayant marqué à peu près tout le monde : Mon petit renne, Monsters ou Ripley, trois séries Netflix d’ailleurs…
Projet antérieur au succès colossal de l’adaptation du Dune de Frank Herbert par Denis Villeneuve, la série Dune – Prophecy n’est pas mauvaise en soi, mais décevra forcément les admirateurs du cinéaste canadien comme de l’auteur mythique de Science-fiction…
Stax, Un nom qui claque et qui parle à tous les amateurs de soul Music. Stax, un label, créé dans les années 50 à Memphis Tennessee dont on redécouvre l’histoire dans un formidable documentaire, signé de la chaîne américaine HBO.
The Penguin est un excellent divertissement, qui abuse de facilités scénaristiques et manque finalement de cette profondeur qui l’aurait rapproché de ses sources d’inspiration. Mais qui a pour lui une belle interprétation de Colin Farrell, et une noirceur assez audacieuse.
Wise Guy: David Chase and the Sopranos représente la commémoration du quart de siècle d’une série qui fit date. C’est surtout l’occasion d’entendre un David Chase, pas très enclin à s’exprimer sur son travail, parler longuement de sa création.
Il est facile de résumer la seconde saison de House of the Dragon : la même chose que la première. Soit : des dragons, on s’enflamme, des parlottes, on s’ennuie vaguement. Bref, une série qui se cherche toujours et ne s’est pas encore trouvée.
Débutée par un véritable uppercut au foie, quand Park Chan Wook filme la chute de Saïgon, The Sympathizer ne se maintient pas toujours à une telle hauteur, mais reste une série exemplaire offrant une vision alternative de la Guerre du Vietnam.
On nous promettait un retour à la « grandeur exceptionnelle » de la première saison, vénérée par tous, de True Detective, mais, en dépit du changement de show runner, rien n’y fait, et cette quatrième enquête présente autant de hauts de que bas…