
Tiens, écoute ça ! : « Hallelujah » par John Cale
Aujourd’hui, Tiens écoute ça ! vous parle de la meilleure version à date du (faux) « classique » de Cohen, Hallelujah : il s’agit bien entendu de celle que nous a offerte John Cale !
Aujourd’hui, Tiens écoute ça ! vous parle de la meilleure version à date du (faux) « classique » de Cohen, Hallelujah : il s’agit bien entendu de celle que nous a offerte John Cale !
Petite surprise printanière donc avec l’album MIXology (Volume 1), sorti sans crier gare sur Internet avant une parution physique annoncée pour le 8 août. Vous reprendrez bien une autre dose de John Cale ?
Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : aujourd’hui, l’album qui reste à date le sommet de la carrière solo de John Cale après le Velvet, Paris 1919.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». Aujourd’hui : le premier album de l’un des groupes essentiels de l’Histoire du Rock.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». Aujourd’hui : le second album du Velvet Underground, ce monstre noir, cette hallucinante expérience sonique…
L’été, période propice aux rattrapages, et en particulier des albums à côté desquels nous étions passés. Aujourd’hui, le dernier John Cale, POPtical Illusion, qui prouve que l’ancienne tête pensante du Velvet Underground reste toujours ambitieux et créatif.
En se reformant dans son line-up original, près de 25 ans plus tard, le Velvet Underground créa LA sensation de l’année 1993, et ceux qui assistèrent aux concerts s’en souviennent encore. Malheureusement, la transcription sur vinyle de l’événement n’a finalement rien d’extraordinaire.
Les albums de rééditions se suivent et ne se ressemblent pas : ce que VU réussissait avec brio, Another View le rate magistralement. Un disque à oublier en attendant des compilations ultérieures bien plus respectueuses de « l’esprit Velvet ».
Première d’une longue série de compilations à venir dans des coffrets pour complétistes, VU dévoile de beaux inédits dont la fraîcheur surprend encore, des années plus tard… Et frappe juste et fort. La grâce ?
Si à peu près tout le monde s’accorde sur le fait que le premier album du Velvet Underground est l’un des plus impressionnants monuments de la musique du XXème siècle, impossible de cacher que le second album, White Light/White Heat est celui que l’on préfère.