Donjon Crépuscule Tome 112 – Pourfendeurs de démons : pour Zakûtu !
Crépuscule, ce n’est pas fini : voilà la réjouissante nouvelle d’un nouveau tome du Donjon, qui entame le récit de l’invasion de Terra Amata reconstituée par de nouvelles entités !
Crépuscule, ce n’est pas fini : voilà la réjouissante nouvelle d’un nouveau tome du Donjon, qui entame le récit de l’invasion de Terra Amata reconstituée par de nouvelles entités !
Au second tome de la nouvelle série Donjon Antipodes, l’ambition du projet de Sfar et Trondheim se dévoile : ni plus ni moins que de créer un grand récit des origines, reliant le Donjon aux récits fondateurs de l’Heroic Fantasy. Et en plus, c’est drôle !
Moins léger et moins drôle que le précédent tome des nouvelles aventures de Lapinot, Un peu d’amour, L’Apocalypse joyeuse a le mérite de poser les bonnes questions sur notre état mental actuel, sur notre cupidité et notre violence de plus en plus libérée.
On ne peut certainement pas dire qu’on ait jamais attendu la parution d’un nouveau tome de Donjon Parade avec impatience, mais le dessin remarquable d’Alexis Nesmes sauvera littéralement Garderie pour petiots de l’oubli.
Sans être un « grand Donjon », En Sa Mémoire est un divertissement solide, respectant les codes inventés par Sfar et Trondheim, tout en constituant une petite échappée par rapport au sujet central de la série.
Grâce au superbe graphisme atypique de David B., mais aussi à un scénario qui apporte des éléments importants à la compréhension de l’univers du Donjon, tout en dégageant une émotion inédite, Réveille-toi et meurs se place d’emblée parmi les plus grandes réussites de Sfar et Trondheim.
Le premier épisode de Donjon Antipodes +, surprenant nouveau courant d’un Donjon de plus en plus foisonnant, ne nous convainc pas totalement, mais la créature monstrueuse de Sfar et Trondheim reste vigoureuse !
Guère plus de 6 mois après Prosélytisme & morts-vivants, Lewis Trondheim nous propose une autre nouvelle aventure de Lapinot : trop tôt ? Non, car il a trouvé une autre manière de nous conter une grande histoire, et de nous faire encore plus rire.
Il nous a fallu du temps pour digérer le dernier chapitre (le douzième) de Ralph Azham : Lâcher Prise était un album frustrant, terriblement déprimant, qui traduisait surtout le besoin dévorant de Lewis Trondheim d’en finir.
« Comment un zombie fait-il pour faire le plein de sa voiture ? », voici l’excellent question que pose le dernier Lapinot, qui s’égare malheureusement un peu trop à imaginer une France où l’athéisme serait une croyance…