« Les Compagnons de la Libération, tome 10 – Grenoble » : quand la France résistait
Alors que la ville de Grenoble s’apprête à célébrer les 80 ans de sa libération, Jean-Yves Le Naour et Philippe Tarral célèbrent ses réseaux de résistants.
Alors que la ville de Grenoble s’apprête à célébrer les 80 ans de sa libération, Jean-Yves Le Naour et Philippe Tarral célèbrent ses réseaux de résistants.
Thomas Legrand et François Warzala racontent l’histoire vraie de la longue captivité d’un jeune homme idéaliste et courageux, durant la Seconde Guerre mondiale. Il en sortira marqué à vie, mais grandi.
Avant l’Ukraine, il y a eu la Guerre d’hiver, oubliée depuis. Et Olivier Norek nous raconte son histoire. Vraie. Avec, au centre de cette tragédie glacée et sanglante, Simo Häyhä, le plus mythique des snipers.
Un hommage à des héros récemment entrés au Panthéon, qui vient nous rappeler à point nommé une certaine idée de la France, et une très belle idée. L’approche est certes respectueuse, mais souffre peut-être d’un traitement un peu scolaire.
Après le triomphe de Band of Brothers, et un The Pacific plutôt réussi, on pouvait espérer une nouvelle série passionnante avec ce Masters of the Air. La déception est donc d’autant plus forte…
Le réalisateur allemand Kilian Riedhof retrace le destin de Stella Goldschlag, cette femme juive allemande qui a choisi de trahir les siens pour sauver sa peau. Un solide biopic avec une Paula Beer magistrale dans le rôle titre.
Divertissement roboratif, Sisu recycle dans le contexte de la libération de la Finlande en 1944 tous les clichés du film d’action des années 80, revisités à la manière de Tarantino et des western spaghettis. Surprise : on s’amuse beaucoup devant ce film qui semble ne reculer devant rien…
Description objective et détaillée d’une réunion de travail des cadres du IIIème Reich, ayant eu lieu en 1942, et où furent décidées les modalités de mise en place et d’exécution de la « solution finale », la Conférence est un constat terrifiant sur la noirceur de l’âme humaine.
Le showrunner de Peaky Blinders délaisse l’atmosphère des années 30 pour l’enfer de Tobrouk en 1941/42. Mais le passage de la fiction à la relation de faits réels ne constitue-t-elle pas une marche trop haute à franchir pour conserver à la fois la signature esthétique et le spectateur en haleine ?
Adaptation soignée d’un livre important de la littérature grecque, la Grande Balade de Petros est une lecture essentielle, même si pas tout-à-fait satisfaisante.