
« Jurassic World : Renaissance » de Gareth Edwards : le blockbuster de papy
Spielberg et son équipe reviennent pour faire « renaître » leur franchise chérie de Jurassic Park. Et, surprise ou évidence ?… on échappe de peu à la fausse couche.
Spielberg et son équipe reviennent pour faire « renaître » leur franchise chérie de Jurassic Park. Et, surprise ou évidence ?… on échappe de peu à la fausse couche.
Après le triomphe de Band of Brothers, et un The Pacific plutôt réussi, on pouvait espérer une nouvelle série passionnante avec ce Masters of the Air. La déception est donc d’autant plus forte…
Voici nos coups de cœur cinéphiliques individuels et collectifs (pour certains). Comme l’année dernière, nous y joignons le Top 10 de nos lecteurs.
Comme un cadeau de noël avant l’heure, Steven Spielberg nous présente son West Side Story. Une déclaration d’amour à un genre qui concentre à l’extrême le règne de la facticité virtuose. Un exercice de style plus que réussi pour l’auteur de La Liste de Schindler.
Était-ce une bonne idée de relancer en 2020 le concept des Histoires Fantastiques créées par Spielberg en 1985 en hommage aux créateurs de son enfance ? Apple TV+ y a cru.
On attendait avec impatience que notre vieil ami Spielberg se frotte à la culture des jeux vidéo, avec sa science de la mise en scène et son sens du divertissement. Ready Player One s’avère tout autant une célébration (critique ?) de la « pop culture ». Pour en tirer quelles conclusions ?
Dans un film aux formes très classiques, Spielberg évoque les premiers lanceurs d’alerte et propose une réflexion sur le pouvoir d’une presse mise à mal mais toujours protégée par le premier amendement.
Spielberg l’humaniste se devait de rencontrer un jour la figure de Lincoln. Projet longtemps mûri, ce film clôt la question de l’esclavage soulevée déjà dans la Couleur Pourpre et Amistad, en y prolongeant le sujet sur le terrain du Droit, de l’action politique et de la grande Histoire.