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Denis Verloes

Vampire weekend – Contra

Visiblement je vais avoir du mal à  lever une armée. En effet, au sein même de Benzinemag, il se trouve une kyrielle de révolutionnaires qui comparent au mieux contra à  une aimable bluesette, au pire à  une retape éhontée de UB40. Si si j’ai les noms. Alors je prends mon bâton de pèlerin, j’enfile ma robe de bure et je me permets de vous signaler que Contra (de confiance) moi j’aime beaucoup.

Windmill – Epcot starfields

Matthew Thomas Dillon a commence son petit manège quelque part en 2007, sur un bon vieux quatre pistes. La rumeur enfle et il ouvre plusieurs concerts pour des pairs pas bidon style The National, Patrick Watson, The Smashing Pumpkins, Vampire Weekend. Excusez du peu. Après une remise en question totale, le londonien met à  la poubelle tout ce qu il a enregistré après son premier album.

Kim – Mary lee doo

S il est un artiste hexagonal dont la production désormais pléthorique est restée injustement confidentielle, c est bien Kim Stanislas Giani aka Kim ; qui a tout de même lancé sa première galette à  seize ans, en 1994 alors que la britpop allait balancer Parklife et Definitely maybe, juste pour situer l époque.

The Dodos – Time to die

Oui lecteur patient (ou lecteur qui fait semblant d’être dupe de ma fainéantise camouflée en sagesse critique), va, va sans crainte vers le Time to die, version 2009 des Dodos. Le duo a encore amélioré sa formule. Ecoute bien lecteur, derrière une production « musclée » signée Phil Ek, tu retrouveras tout ce qui te faisait aimer The Dodos jusqu’ici.