
[Polars de l’été] Craig Johnson – Tout Autre Nom : drôle de shérif
Entrez avec les enquêtes du Shérif Walt Longmire dans l’univers dépaysant de Craig Johnson, un écrivain américain qui est à la fois, un cow-boy, un érudit et un humoriste.
Entrez avec les enquêtes du Shérif Walt Longmire dans l’univers dépaysant de Craig Johnson, un écrivain américain qui est à la fois, un cow-boy, un érudit et un humoriste.
On attendait avec impatience le second tome de l’incroyable saga uchronique du Dernier Atlas, que l’on rsique de bien de ranger au côté des meilleures réussites de Naoki Urasawa… et on n’est pas déçus !
Un second album nettement supérieur à leur premier jet ? C’est la divine surprise que nous offrent Fontaines D.C., nous prouvant pour le coup qu’ils sont bien plus qu’une hype passagère.
Faut-il écouter le nième album peu convaincant des Pretenders en 2020 ? Oui, car Chrissie Hynde y chante encore mieux que d’habitude, et nous pourrions même tomber amoureux à nouveaux d’elle !
Et si, pour accélérer la prise de conscience des horreurs dont nous sommes tous complices vis à vis des migrants, il fallait une série TV ? C’est en tout cas le défi que relève Stateless, l’impressionnante mini-série australienne diffusée par Netflix.
Cuisine centrale, c’est la découverte d’une communauté, d’une famille qui travaille ensemble, dans un ESAT où l’on prépare des repas. Cuisine centrale, c’est aussi la révélation du travail passionnant d’un documentariste, d’un « reporter BD », Troub’s. A suivre…
C’était clairement une fausse bonne idée que de faire un remake fidèle du remarqué – mais pas exceptionnel – la Isla Minima, en le transposant en Allemagne…
Grand espoir du cinéma espagnol, Sorogoyen revient après le coup de maître de son thriller politique, El Reino, avec Madre, un film trompeur…
Très littéraire, le set de Rodolphe Burger sur le plateau du Studio 104 ce vendredi ? Peut-être, mais surtout aérien, éclectique et électrique, le Lou Reed français – ou plutôt alsacien !
Le « syndrome du second album » a donc frappé The Beths : Jump Rope Gazers est bien trop lisse, bien trop respectueux des canons indie rock 90’s pour tenir les promesses de ce groupe pop dépressif à guitares sur lequel nous comptions beaucoup.