Eels et la déconstruction du bonheur
20 ans que Mark Oliver Everett (Eels) nous empoisonne avec ses ritournelles dépressives. Rien de nouveau avec ce The Deconstruction, qui vaut néanmoins la peine qu’on s’arrête sur son cas…
20 ans que Mark Oliver Everett (Eels) nous empoisonne avec ses ritournelles dépressives. Rien de nouveau avec ce The Deconstruction, qui vaut néanmoins la peine qu’on s’arrête sur son cas…
On n’attendait pas forcément grand-chose du premier album solo de Daniel Blumberg, mais « Minus » s’avère une grande claque émotionnelle…
Et si les Nits restaient en 2018 l’un des plus cadeaux que vous puissiez vous faire à vous-même ? Un cadeau qui mélange subtilement joie de vivre et spleen insondable.
Enfin un nouvel album du génial David Byrne. On attendait le meilleur mais la désillusion est sévère : maladroit au point d’en être embarrassant, « American Utopia » s’avère le pire échec artistique de toute la carrière de Byrne.
Même si le temps a érodé les aspérités d’un groupe qui joue aujourd’hui avant tout sur la qualité « professionnelle », les concerts d’Arcade Fire restent toujours de beaux moments de musique live.
Okkervil River publie son album le plus accrocheur à date, ce qui, dans un monde plus juste que le nôtre, devrait offrir à nouveau au groupe une renommée qui s’est peu à peu défaite au fil des années depuis son apparition en 1998.
On aime tellement Dominique A que l’on se paie le luxe d’une second live report pour cette tournée « Toute latitude » qui faisait escale cette fois à La Philharmonie de Paris.
Le Ralph Azham de Lewis Trondheim est de retour et il n’est pas content. Du coup, cette série Heroic fantasy moyenâgeuse et irrégulière démarrée en 2011 décolle enfin !
Will Sheff était à Paris pour présenter le dernier album de son Okkervil River. Nous avons pu le rencontrer chez Fargo, dans le XIème, une boutique de disques au décor chaleureux
On attendait avec impatience que notre vieil ami Spielberg se frotte à la culture des jeux vidéo, avec sa science de la mise en scène et son sens du divertissement. Ready Player One s’avère tout autant une célébration (critique ?) de la « pop culture ». Pour en tirer quelles conclusions ?