Tous les albums de Bowie : 20. Stage (1978)
Décidément encore fâché avec le concept d’album live, Bowie publie encore une fois en 1978 une illustration peu engageante de sa tournée Isolar II, Stage. Mais que s’est-il donc passé ?
Décidément encore fâché avec le concept d’album live, Bowie publie encore une fois en 1978 une illustration peu engageante de sa tournée Isolar II, Stage. Mais que s’est-il donc passé ?
Les jeunes Vendéens des Dynamite Shakers ont fini, à force de donner des concerts à l’énergie stupéfiante à travers tout le pays, par être reconnus comme l’un des nouveaux groupes français les plus excitants du moment…
Rempli de titres accrocheurs, alliant une forme synth pop accueillante à des guitares qui n’ont pas tout à fait dit leur dernier mot, Bobbie, le troisième album des Néerlandais de Pip Bloom, s’avère glorieusement impeccable.
Pour ce qui serait sa dernière série sur Netflix, Mike Flanagan vise très haut avec une adaptation d’Edgar Poe. Sauf que le projet du nouveau maître du fantastique n’était pas exactement ce qu’il paraissait a priori…
Killers of the Flower Moon, le nouveau Scorsese, peut-être le dernier Scorsese, est l’un de ses tous meilleurs films, grâce à une forme apaisée, d’une intelligence cinématographique éblouissante.
Après un passage remarqué à la Maroquinerie et une quasi-résidence à Binic, Cash Savage and The Last Drinks nous rendaient à nouveau visite : une nouvelle occasion de célébrer un groupe hors du commun et une compositrice qui s’approche des sommets.
En 1977, rien ne peut aller mal pour Bowie, qui marche littéralement sur l’eau. Il peut même se permettre d’enregistrer une version de Pierre et le Loup comme cadeau de Noël pour son fils, et… ça marche !
On peut ajouter à un film de « slasher » une bonne dose d’intelligence, mais – dans le cas de Séminaire au moins – ça n’en fera pas un chef d’œuvre pour autant.
Le nouvel album de The Silencers, après des années de silence discographique, nous renvoie de manière magique à l’enthousiasme de A Letter From Saint Paul, leur premier. Eloge de l’optimisme.
En rééditant le livre de Jean-Michel Frodon, Treize Ozu, les Cahiers du Cinéma rendent un inestimable service à tous les cinéphiles : il s’agit là d’une vision profondément originale de l’œuvre d’Ozu, peut-être le plus grand cinéaste japonais « classique ».