[arte] En Thérapie, Saison 2 : les liens familiaux et l’inconscient collectif
En Thérapie fait son retour avec une saison 2 tout aussi bouleversante que la première avec pour trame de fond le traumatisme du premier confinement lié au Covid-19.
En Thérapie fait son retour avec une saison 2 tout aussi bouleversante que la première avec pour trame de fond le traumatisme du premier confinement lié au Covid-19.
Avec Quitters, Christian Lee Hutson prend une envergure que l’on n’attendait pas forcément de sa part et entre dans le cercle restreint des immenses songwriters. Un album qui ressemble à peu de choses prés à ce que l’on peut qualifier de chef-d’oeuvre.
La batteuse de Jazz Anne Paceo sort avec S.h.a.m.a.n.e.s un disque encore une fois inclassable qui ne doit pas grand chose aux standards du Jazz, qu’il soit Free ou qu’il soit Be Bop. Sa musique tend toujours plus vers une Pop racée et enthousiaste.
L’hantologie est un courant né d’une allégation du philosophe Jacques Derrida qui va bien au-delà du seul registre musical et se retrouve aujourd’hui aussi bien dans la photographie, le cinéma ou encore notre perception du monde. Explications.
L’anglaise Anne Garner signe un disque superbe et s’inscrit comme un possible chaînon manquant entre Elizabeth Frazer et Jonsi, comme une traduction envisageable du son de la brume.
Avec Study Of The Invisible, la pianiste française Vanessa Wagner poursuit un travail passionnant et transversal entre les genres musicaux aussi bien dans le répertoire musical que dans le romantisme.
Labyrinthitis va piocher encore une fois dans les influences qui ont fait le chef d’oeuvre Kaputt. Pas sûr que la comparaison soit totalement flatteuse pour ce nouvel album de Destroyer qui, à force de se perdre finit par nous perdre aussi pour notre plus grand plaisir.
Chacun des albums de Emily Jane White est à prendre comme un complément au chapitre précédent. Alluvion, son septième recueil, poursuit dans cette veine politique et parfois visionnaire. Un grand cru une fois encore.
Emmanuelle Parrenin continue d’explorer des territoires constitués d’hybridation et de créolisation. Targala, la récolte de cette recherche n’en finit pas de nous fasciner par son énigme indéchiffrable mais ô combien charmante.
Akira Rabelais s’attaque à l’oeuvre proustienne en s’inscrivant dans une démarche hantologique, faisant suite aux travaux de The Caretaker ou de Boards Of Canada. Quatre heures d’errance où il nous transporte dans un travail mémoriel et incertain.