
[Canal+] The Resort : la fausse bonne idée…
Quand une série donne envie sur le papier pour finir par être complètement indigeste et ratée à l’écran : retour sur le cas The Resort
Quand une série donne envie sur le papier pour finir par être complètement indigeste et ratée à l’écran : retour sur le cas The Resort
Passée quasi inaperçue, The Big Door Prize a pourtant bien des qualités, discrètes, mais réelles, qui en font une excellente surprise dans le registre de la comédie classique américaine nimbée de surréalisme philosophique. Des sujets profonds traités avec légèreté.
Somewhere Boy, dont le terrible postulat de départ aurait pu donner une série glauque et sombre, propose au contraire une progressive mise en lumière de ses personnages, jusqu’au final, rempli d’espoir et de délicatesse. Une gageure hautement réussie.
Rarement une série de cinéaste n’aura été autant marquée par son empreinte. Le style singulier de Xavier Dolan éclate dans les cinq épisodes de cette mini-série, à la fois très attachante et un brin agaçante…
Détournant franchement et avec malice les codes des films de super-héros et du « teen movie », la série anglaise fait mouche. En cinq points, pourquoi regarder « Extraordinary » ?
Deuxième salve de touristes du complexe hôtelier The White Lotus, cette fois- ci en Sicile : on n’en attendait pas grand chose, et pourtant, la série réussit brillamment à être réjouissante et fine, misant sur une galerie plus resserrée de personnages complexes et attachants.
S’inscrivant dans une veine naturaliste peu commune dans le genre du polar, Jérôme Bonnel installe une atmosphère étrange, un peu poisseuse et déconcertante, pour une mini-série qui prend son temps et finit par vraiment nous intriguer.
Retour en demi-teinte pour Michael Mann, aux premières manettes de cette mini-série policière dans le milieu des yakuzas japonais. La machine visuelle, aux allures de bel objet sophistiqué, tourne un peu à vide. On s’explique.
De l’inédit dans le genre ultra-codé et ultra-connu de la série ado : la mise en lumière des adolescents intersexués. Cette production française formidable filme les genres, les errements, les hésitations, les doutes et les pulsions de jeunes adultes comme jamais personne auparavant.
C’est la série française de la rentrée ! Bruno Merle et olivier Abbou dynamitent le genre du « serial killer » et proposent six épisodes d’une force et d’une fascination assez peu vues jusqu’ici.