
[Disney+] Extraordinary : les super-héros hilarants du quotidien…
Détournant franchement et avec malice les codes des films de super-héros et du « teen movie », la série anglaise fait mouche. En cinq points, pourquoi regarder « Extraordinary » ?
Détournant franchement et avec malice les codes des films de super-héros et du « teen movie », la série anglaise fait mouche. En cinq points, pourquoi regarder « Extraordinary » ?
Deuxième salve de touristes du complexe hôtelier The White Lotus, cette fois- ci en Sicile : on n’en attendait pas grand chose, et pourtant, la série réussit brillamment à être réjouissante et fine, misant sur une galerie plus resserrée de personnages complexes et attachants.
S’inscrivant dans une veine naturaliste peu commune dans le genre du polar, Jérôme Bonnel installe une atmosphère étrange, un peu poisseuse et déconcertante, pour une mini-série qui prend son temps et finit par vraiment nous intriguer.
Retour en demi-teinte pour Michael Mann, aux premières manettes de cette mini-série policière dans le milieu des yakuzas japonais. La machine visuelle, aux allures de bel objet sophistiqué, tourne un peu à vide. On s’explique.
De l’inédit dans le genre ultra-codé et ultra-connu de la série ado : la mise en lumière des adolescents intersexués. Cette production française formidable filme les genres, les errements, les hésitations, les doutes et les pulsions de jeunes adultes comme jamais personne auparavant.
C’est la série française de la rentrée ! Bruno Merle et olivier Abbou dynamitent le genre du « serial killer » et proposent six épisodes d’une force et d’une fascination assez peu vues jusqu’ici.
Après la surprise émouvante de Normal People, la même équipe a décidé s’adapter son premier roman. Même univers, mêmes types de personnages, pour un traitement un peu différent. Et pour quel résultat ?
Retour sur trois jours de musique non-stop, de soleil, de chaleur dans le festival catalan qui, avec son grand retour après deux années de Covid, sa programmation dantesque et ses 200000 spectateurs, demeure probablement l’un des plus grands rendez-vous européens des amateurs de rock, pop et électro.
Grande série d’espionnage de la BBC datant de 2014, The Honourable Woman refait surface sur la plateforme Arte.tv, histoire de se (re)plonger dans les méandres et les tourments d’une crise internationale menée avec brio, dans les règles de l’art sériel britannique.
Difficile de s’enthousiasmer devant la nouvelle série produite par David E. Kelley : sur fond de scandale #MeToo et de critique du pouvoir des élites au Royaume-Uni, elle déçoit à s’enliser dans plusieurs directions et multiplier des choix de mise en scène douteux.