
Amanda : mon oncle
Nouvelle variation sur le deuil et la reconstruction pour Mikhaël Hers, trois ans après Ce sentiment de l’été. Un film qui ne cherche jamais à transcender, simplement à toucher.
Nouvelle variation sur le deuil et la reconstruction pour Mikhaël Hers, trois ans après Ce sentiment de l’été. Un film qui ne cherche jamais à transcender, simplement à toucher.
Luca Guadagnino revisite le classique de l’horreur de Dario Argento, livrant une œuvre bancale qui s’amuserait à mixer le pire de Ken Russell avec le meilleur de Darren Aronofsky.
Pierre Salvadori signe une nouvelle comédie portée par un duo improbable et attachant (Adèle Haenel et Pio Marmaï), sa meilleure sans doute avec Cible émouvante et Les apprentis.
Gilles Lellouche signe une comédie aquatique et sympathique, clairement au-dessus du lot, qui nous venge des horreurs de Kev Adams, Philippe Lacheau, Danny Boon et Cie.
Un homme et une femme s’aiment au temps du communisme et du Paris bohème. Pawel Pawlikowski signe un film élégant et beau, mais jamais bouleversant.
Après le film d’auteur pornographique, Lars von Trier s’essaie au film de serial killer introspectif avec The House That Jack Built. Méchant, foutraque et noir comme l’enfer.
Lukas Dhont, pour son premier long-métrage, réalise un film simple et sensible sur un garçon voulant devenir fille, couronné à Cannes de la Caméra d’or, de la Queer Palm et du prix d’interprétation Un certain regard.
Après L’exercice de l’État, Pierre Schoeller explore à nouveau les arcanes politiques et les motifs du pouvoir de son pays. Ambitieux mais inégal.
Jacques Audiard s’essaie au western en filmant deux frères tueurs à gage perdu dans un Far West désenchanté. Si le film peine à prendre ses marques, il finit par surprendre et captiver.
Mathieu Sapin dézingue gentiment le milieu politique français, épaulé par une Alexandra Lamy géniale en prédatrice arriviste et vacharde.