Bird Box : encore une déception en provenance de Netflix !
Adaptation à l’écran d’un roman d’anticipation, Bird Box n’est pas la série B classieuse que l’on pouvait en attendre, malgré une tête d’affiche et un pitch alléchants.
Adaptation à l’écran d’un roman d’anticipation, Bird Box n’est pas la série B classieuse que l’on pouvait en attendre, malgré une tête d’affiche et un pitch alléchants.
Porté aux nues dans un élan de grâce critique quasi unanime, Roma n’est pourtant qu’une coquille vide lourdement formaliste débouchant sur un propos éculé. Cuarón chiantissima !
Conte pop et kitsch totalement inclassable avec une star du foot neuneu comme héros principal, Diamantino n’oublie jamais, derrière son exubérance, de porter un regard critique sur notre monde fou fou fou.
Nouvelle variation sur le deuil et la reconstruction pour Mikhaël Hers, trois ans après Ce sentiment de l’été. Un film qui ne cherche jamais à transcender, simplement à toucher.
Luca Guadagnino revisite le classique de l’horreur de Dario Argento, livrant une œuvre bancale qui s’amuserait à mixer le pire de Ken Russell avec le meilleur de Darren Aronofsky.
Pierre Salvadori signe une nouvelle comédie portée par un duo improbable et attachant (Adèle Haenel et Pio Marmaï), sa meilleure sans doute avec Cible émouvante et Les apprentis.
Gilles Lellouche signe une comédie aquatique et sympathique, clairement au-dessus du lot, qui nous venge des horreurs de Kev Adams, Philippe Lacheau, Danny Boon et Cie.
Un homme et une femme s’aiment au temps du communisme et du Paris bohème. Pawel Pawlikowski signe un film élégant et beau, mais jamais bouleversant.
Après le film d’auteur pornographique, Lars von Trier s’essaie au film de serial killer introspectif avec The House That Jack Built. Méchant, foutraque et noir comme l’enfer.
Lukas Dhont, pour son premier long-métrage, réalise un film simple et sensible sur un garçon voulant devenir fille, couronné à Cannes de la Caméra d’or, de la Queer Palm et du prix d’interprétation Un certain regard.