
Tous les albums de Bowie : 22. Scary Monsters… and Super Creeps (1980)
La légende n’a pas tort : c’est avec Scary Monsters… and Super Creeps que Bowie referme avec panache sa période musicale la plus inspirée !
La légende n’a pas tort : c’est avec Scary Monsters… and Super Creeps que Bowie referme avec panache sa période musicale la plus inspirée !
Variation sans surprises scénaristiques sur la figure du tueur professionnel, The Killer est maintenu à flots par le sens formaliste de Fincher. A voir sur Netflix !
Non dénué de qualités, L’enlèvement, le nouveau film de Marco Bellocchio présenté au Festival de Cannes en mai dernier, souffre de ne pas raconter grand chose de neuf sur l’unité nationale italienne.
En dépit de la révélation Lily Gladstone, Killers of the Flower Moon manque du souffle qui en aurait fait un Scorsese majeur.
Dans Close Up – Daniel Darc : Je me souviens, je me rappelle, Marc Dufaud évoque sa collaboration de cinéaste avec le mythique chanteur de Taxi Girl. Un travail synchrone de l’esprit de son sujet jusque dans ses limites.
Bien qu’imparfait, le livre Kraftwerk Trans-Europe-Express de Thomas Gaetner, qui porte sur une chanson emblématique de Kraftwerk, permet de revenir sur le rôle-clé des Allemands dans le paysage musical de la fin des années 1970.
Souvent drôle, porté par les ombres de Godard et du versant le plus cynique de la comédie italienne, N’attendez pas trop la fin du monde est un film dans lequel le tout est inférieur à la somme des parties.
Le Procès Goldman partage avec la Palme cannoise 2023 d’être un film de procès ayant reçu un bon accueil critique. Mais à la dissection d’un couple qui se délite chez Justine Triet répond chez Cédric Kahn le retour sur les dynamiques politiques de la France des années 1970.
En dépit de prévisibles limites vocales, ce retour de Costello sur la capitale en compagnie du clavier des Attractions eut ses beaux moments, en particulier sur la fin.
Bien qu’en partie difficile à suivre, « L’Arbre aux papillons d’or » révèle un jeune auteur asiatique aux influences bien digérées nommé Pham Thien An.