
[Live Report] Chris Isaak à l’Olympia : Baby did a good good thing to come…
Quand bien même sa seule actualité musicale était un Christmas album, le concert de Chris Isaak à l’Olympia fut finalement réussi…
Quand bien même sa seule actualité musicale était un Christmas album, le concert de Chris Isaak à l’Olympia fut finalement réussi…
Lorgnant vers une idée plus classique de la pop que le travail des Fontaines D.C., Chaos for the fly, l’album solo de leur leader, Grian Chatten, manque de titres forts pour convaincre.
S’il est possible de trouver les choix d’orchestration de ce concert des Who discutables au regard de l’histoire du groupe, le charisme et le talent de Daltrey et Townshend ont maintenu à flôt leur retour scénique en France.
Cherchant en partie à renouer avec les thèmes des meilleurs films de Wes Anderson, Asteroid City se perd à force de trop de cérébralité et d’une narration inutilement alambiquée.
Difficile d’espérer du professionnalisme des Black Keys plus qu’un « bon concert », ce qui n’est déjà pas si mal, mais ils nous avaient réservé pour cette soirée au Zénith une jolie surprise finale…
Spider-Man: Across the Spider-Verse régale en appuyant sur l’accélérateur de la frénésie visuelle du premier volet. Il contient hélas sa part de réchauffé Marvel et a des airs de long teaser du volet suivant.
La Paris La Défense Arena n’est pas le lieu de région parisienne le plus approprié pour un concert. Cela n’a pas empêché le Boss et son E Street Band d’être à la hauteur de leur réputation de machine de guerre scénique imparable.
Avec leur Dictionnaire du Cinéma Britannique, Jean-François Baillon et N.T. Binh offrent un panorama exhaustif du cinéma produit au Royaume-Uni… et la réhabilitation d’une cinématographie longtemps sous-estimée en France.
Après la déception Rock en Seine, le second concert des Arctic Monkeys à l’Accor Arena fut une bonne surprise. Mais il raconte aussi en creux les limites du groupe dans des conditions stades/grands festivals.
Si le point d’arrivée de Trenque Lauquen est très vite visible, le film conserve cependant l’art de jouer avec la narration des meilleures productions du collectif El Pampero Cine.