Tristen – Mars en Marche
Tristen, c’est en résumé, tout ce que l’on peut dignement aimer d’une chanson française aux accents pop indés assumés. Frais, enlevé, brillant. Un album qui donnerait presque envie de rêver un peu.
Tristen, c’est en résumé, tout ce que l’on peut dignement aimer d’une chanson française aux accents pop indés assumés. Frais, enlevé, brillant. Un album qui donnerait presque envie de rêver un peu.
On peut être plongés dans une journée historique, synonyme de liesse et de communion populaires, et ne pas participer à cet élan joyeux (un peu […]
Jusqu’à présent, la réalisatrice, scénariste et comédienne parisienne Emmanuelle Bercot s’était surtout intéressée au mal-être adolescent, et plus précisément aux relations troubles et équivoques entre […]
Alors que la Cinémathèque française présente cet automne une rétrospective de son oeuvre, le cinéaste italien Bernardo Bertolucci, absent des écrans depuis 10 ans, pour […]
Deux personnalités fortes pour un disque habité : ou comment la musique de chambre glisse progressivement vers le cabaret et l’expérimentation. Sublime.
On reconnait à juste titre la capacité des auteurs américains (en littérature comme au cinéma) à raconter une histoire. À cet égard, le réalisateur français […]
A travers l odyssée de Lakhdar/Ibn Batouta, Mathias Enard a voulu nous faire comprendre toute la difficulté rencontrée par les jeunes arabes pour pouvoir conquérir la liberté dont il rêve tant sans se faire voler leur révolte par des forces encore plus réactionnaires que celles qu ils combattent.
» La poésie contemporaine ne chante plus. Elle rampe. Elle a cependant le privilège de la distinction, elle ne fréquente pas les mots mal famés, elle les ignore. » Léo a compris depuis longtemps que la poésie perdait son aura, qu elle s abimait dans une certaine facilité.
Petit groupe sans prétention, The Letter Yellow témoigne néanmoins d’un savoir-faire parfois bluffant. Walking down the streets aurait encore plus gagné à être plus resserré sur ses vrais atouts.
Avec le dernier Màºm, on hésite entre un « Miam » de délectation et un « hum » de perplexité. Un festival d’onomatopée pour un album qui fait le job, mais ne surprend plus.