
« Deux pianos » d’Arnaud Desplechin : entre fièvre et mémoire, Desplechin rejoue sa partition
Arnaud Desplechin continue de déranger, de diviser, et peut-être même de fatiguer. Mais Deux pianos prouve qu’il demeure un cinéaste unique, capable de mêler les élans du mélo hollywoodien à une vérité toute française, à la fois nerveuse, maladroite et profondément sincère.