« Oui » de Nadav Lapid : « J’espère que Dieu n’existe pas »
Au cœur d’une orgie mondaine où l’on chante pour les puissants, Navad Lapid oppose la traversée nue d’un désert moral : comment encore regarder – et filmer – la guerre sans obscénité ? De la transe tel-avivienne à la frontière, Oui fouille la compromission jusqu’au clip-propagande qui retourne l’art contre lui-même.
