« Equalizer 3 » d’Antoine Fuqua : échec à la Camorra !?
Divertissement efficace, voire séduisant, porté par un Denzel Washington toujours aussi charismatique, Equalizer 3 souffre surtout de son idéalisation naïve du pouvoir des USA.
Divertissement efficace, voire séduisant, porté par un Denzel Washington toujours aussi charismatique, Equalizer 3 souffre surtout de son idéalisation naïve du pouvoir des USA.
Joel Coen n’offre qu’une relecture plate, sans substance ni fureur, du drame de Shakespeare enrobée dans un bel écrin design convoquant à la fois le fantôme d’Orson Welles et les figures de l’expressionnisme allemand.