« Hallyuwood, Le Cinéma Coréen » de Bastian Meiresonne : panorama du cinéma coréen en français
Avec Hallyuwood, Le Cinéma Coréen, Bastian Meiresonne offre un panorama complet du cinéma coréen en français mettant en relation son présent et son passé.
Avec Hallyuwood, Le Cinéma Coréen, Bastian Meiresonne offre un panorama complet du cinéma coréen en français mettant en relation son présent et son passé.
Dans la superbe collection Cover des Editions du Layeur, c’est maintenant à Yes que s’attaque Dominique Dupuis. Et il y a de la matière, tant en termes d’albums que de péripéties abracadabrantes à raconter ! Retour épique sur l’un des groupes majeurs des origines du prog rock.
Enfin traduit en français, Laisse le flingue, prends les cannolis : Le Parrain, l’épopée du chef-d’oeuvre de Francis Ford Coppola raconte la genèse d’un classique du cinéma des années 1970 comme un fleuve long et tortueux, une bataille entre un cinéaste et un studio.
Alors que sort cette semaine la rivière, un documentaire important sur le cycle de l’eau et la biodiversité, Playlist Society sortent un ouvrage remarquable sur son auteur, Dominique Marchais. Une lecture indispensable.
En rééditant le livre de Jean-Michel Frodon, Treize Ozu, les Cahiers du Cinéma rendent un inestimable service à tous les cinéphiles : il s’agit là d’une vision profondément originale de l’œuvre d’Ozu, peut-être le plus grand cinéaste japonais « classique ».
Bien qu’imparfait, le livre Kraftwerk Trans-Europe-Express de Thomas Gaetner, qui porte sur une chanson emblématique de Kraftwerk, permet de revenir sur le rôle-clé des Allemands dans le paysage musical de la fin des années 1970.
Hergé et les Incas ou la malédiction déjouée est une formable étude d’un classique du neuvième art. Pour avoir commis de nombreux ouvrages sur le sujet, Pierre Fresnault-Deruelle aime l’image fixe en général et celles de Tintin en particulier.
Recueil d’articles principalement consacrés cinéma américain des années 1970, Cinéma Spéculations réussit de justesse à éviter le sentiment d’interview en version longue d’un cinéaste rock star grâce à sa fin.
En 1991, le chef d’œuvre qu’était Blue Lines révélait au grand public les noms de Massive Attack et de Tricky. Mais la trajectoire de ce dernier, avant et après, reste finalement assez mystérieuse pour qu’on ait envie de s’y pencher avec ce Tricky, Antistar Superstar…
Après le premier single des Smiths, le morceau emblématique de New Order est le sujet d’un livre de la collection seveninches consacrée à des singles marquants. Revenant sur son importance historique aussi bien que sur ses conditions d’élaboration.